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 [X-Men] Kafei "Flow" Moons

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Elthenarion
Nelson Monfaible
Elthenarion


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[X-Men] Kafei "Flow" Moons Empty
MessageSujet: [X-Men] Kafei "Flow" Moons   [X-Men] Kafei "Flow" Moons Icon_minitimeLun 7 Juil - 21:23

[X-Men] Kafei "Flow" Moons 180ho8

Prénom et nom : Kafei Moons

Surnom : Flow

Age (Date de naissance) : 21 ans (Né en 2012)

Race : Mutant

Clan : L’institut

Pouvoir :

Kafei Moons, dit Flow, possède un pouvoir de concentration

Le pouvoir en lui-même :
Flow est capable de se concentrer pleinement sur une seule et même tache a un point dépassant les possibilités humaines. En effet, ce pouvoir permet, en quelque sorte de « couper » tous les processus corporels non utiles a la réalisation de la tâche et d’amplifier tous ceux qui lui sont nécessaires. De fait, lorsqu’il se met en marche, Flow se retrouve complètement coupé du monde entier sans aucune possibilité de ne serais-ce que faire un mouvement inutile a son objectif, ce qui lui permet de sublimer ses capacités par une attention quasi-parfaite a ce qu’il est en train de faire.
Le pouvoir s’accompagne d’un augmentation général de la perception et du contrôle qu’il exerce sur son propre corps (cessation des tremblements, contrôle des mouvements respiratoires etc.).

Les conditions et limitations :
Flow est complètement incapable de se concentrer sur une tache trop complexe qui mobiliserait par exemple la totalité de ses capacités physiques et mentales : le pouvoir n’aurait aucun effet. (Par exemple un combat, une phase d’un jeu collectif comme le foot ou le basket etc…). Le pouvoir prendra toute son efficacité seulement a condition que la tache soit très spécifique, notamment lors de la création artistique, mécanique, culinaire etc.
La limite se situe en le fait que Flow ne peut être centré que sur une tache exclusivement et qu’il ne peut absolument rien faire d’autre en même temps. (Impossible de peindre et parler, jouer de la musique et regarder en même temps. Pour le faire, il devra couper son pouvoir.)
Le fait d’activer son pouvoir ne le fatigue pas mais si il souhaite le conserver actif pendant de longs temps (En général, il peut conserver le pouvoir une heure sans pause sans aucun risque.), il peut s’accompagner lors du relâchement de migraines vives et de fatigue générale.

L’utilité :
Flow peut se fixer une tache spécifique et la mener a bien de façon quasi-parfaite en faisant appel a des ressources mentales et physiques inaccessibles au commun des mortels. De fait, la tache qu’il se fixe sera remplie de façon optimale en tout points : Aucune perte de temps, aucun ratés, plus de facilité a se souvenir et a créer.
Toutefois, il est important de noter que le pouvoir a ses limites et que jamais Flow ne pourra jamais créer des choses qui dépassent sa compréhension : il lui faut savoir comment on fait pour pouvoir le faire.



Aptitudes :
+ Joue extrêmement bien de la guitare, même sans utiliser son pouvoir
+ Les arts qu’il maitrise sont : La calligraphie, la peinture, la musique, la poterie, ainsi que la mécanique, la menuiserie et la cuisine (qu’il considère comme des arts)


Description physique :
Le sourire en coin et le regard malicieux, Kafei, bien que ne mesurant qu’une taille moyenne parait toujours vous regarder de haut ave l’air malicieux de celui qui sait ce que vous, vous ne savez pas. Il n’a rien d’une armoire à glace, loin d’avoir cette espèce de carrure dissuasive et rassurante a la fois d’un bagarreur né. Non, il se contente simplement d’être petit et mince. On ne peut pas être bon partout. Malgré sa carrure ridicule, one peut dire que Kafei possède une certaine prestance. Son visage aux traits fins et androgynes dont la beauté singulière surprend au premier regard et dont les yeux en amande, d’un vert émeraude troublant d’irréalisme, se voient recouverts de mèches blondes tombantes se voit teinté d’une pointe de mystère qui fait de lui, au premier regard, un dandy classy tout droit sorti d’un autre âge. Sa très longue queue de cheval haute qui lui retombe jusque dans le dos ne fait qu’ajouter au classicisme trouble du jeune homme.
Cependant, car il en faut bien un, si son physique pourrait le qualifier pour le terme de classe, son attitude ne fait pas vraiment écho a cette enveloppe.
En effet, le visage d’une beauté trouble de ce jeune homme se voit constamment déformé par un sourire irrévérencieux et plein de malice enfantine alors que tout le reste du corps se voit fendu d’une posture négligée avec le bassin en avant. Avec cette prestance singulière que peuvent avoir les fous, il semble tout droit tombé d’un autre monde et attire les curiosités de quiconque ne se voit pas seulement choqué par son manque d’attitude respectable.

Signes particuliers :
+ Possède quatre piercings : Un anneau sur le lobe de l’oreille gauche et trois autres dans le cartilage de l’oreille droite.
+ Une petite cicatrice juste en dessous de l’œil gauche, mauvais souvenir d’une évenement mettant en scène un chat, une table aux coins pointus et le visage d’un certain gamin.

Histoire :
Quand il naquit, Kafei loupa sa première entrée en scène. Le moment important, quoi. Le moment où tout le monde découvre le nouveau musicien pour la toute première fois et grave cette image comme une référence a tout jamais… Il ne cria pas. Il prit sa première baffe, sans broncher. Sans même un gémissement. Un peu comme si il avait déjà pigé, qu’au final, il n’aurait pas le droit de se plaindre. Il resta silencieux, ses yeux encore clos comme si il n’était pas encore assez grand pour supporter la vue du mauvais film d’horreur que constituent une demi douzaine de personnes jetant un regard attendri dans un petit lit format A3 ou, comme toute, un nouveau né est en train de se demander ce qu’il fout là. Une nouvelle note dans la portée.

Puis, très vite, le bambin qui savait pas trop ou, quand et comment il était arrivé là en arrive a l’âge de l’éveil…L’âge ou il commence à piger que les mots « glace » et « jouer » sont vachement plus sympas que « brocolis » et « puni »… L’âge où on s’amuse innocemment a réinventer Mozart avec la symphonie en touche blanche pour un seul doigt.
Dès le départ, Kafei est apparu comme un enfant sage, calme et souvent occupé a rêver. Comme les autres enfants, mais plus. A cet âge ou les enfants rêvent de devenir pompier ou pilote de ligne, lui, il avait décidé, il ne voudrait rien faire. Juste voyager. Juste marcher a travers l’Amérique. Son rêve a lui, son p’tit jardin secret c’était une grande et vaste Amérique ou se côtoient les indiens et les cow-boys, les jazzmen qu’il a vu dans des vieux albums a papa et les stars d’Hollywood préférées de maman. Une Amérique ou, juste accompagné d’une guitare…ou d’un saxo et… d’une vieille bécane, il pourrait traverser les déserts et les plaines, vivre tantôt en ville, tantôt a la campagne et se laisser aller au rythme de la musique jazz. Ah, ce que ca l’aurait botté de revenir dans les années 1920, les années de la prohibition, avec tout plein de gangsters, de jazz et d’étendues sauvages…Des aventures a chaque coin de rue et d’la musique partout, ou tout le monde vivrait a la mode noire des années folles ou plus rien n’a d’importance… Et paf. Avant de s’apercevoir de ce qui se passait, il avait fini par devenir ado. Un ado rêveur et silencieux, car il comprit vite que les rêves, c’est pas des trucs a raconter aux les grands. C’est juste pour ceux qui ont encore un p’tit bout d’ce trésor qu’on appelle naïveté.

Ado, il prend sa première guitare entre les mains. Une vieille guitoche pas franchement en bon état, mais bon, c’est tout ce que les parents pouvaient lui payer, alors il se fait vite aux cabossures et aux cordes détendues. Sa guitare, c’est sa Suzy, son trésor, son pt’it bout d’paradis depuis qu’il a compris que l’Amérique, c’est pas ce qu’il croyait. Depuis qu’il a appris que le jour n’est pas au jazz, n’est pas a la folie des grandeurs ou a la liberté qu’il avait tant espéré. Alors Suzy, c’est son seul refuge, à la fois confidente et amie. Ses creux et ses cordes effilées, il les connait par cœur, et même si il aimerait pouvoir jouer mieux, comme pour la flatter, il n’y arrive pas. Il apprend. Durement.

On raconte qu’un jour, une célèbre trompettiste rencontra le diable au coin d’une rue et devint célèbre. Son diable à lui, à Kafei, c’était un vieux du coin d’la rue ; un vieux comme on n’en voit pas deux et qu’a encore au fond d’ses yeux une petite étincelle de malice… un vieux qu’a compris que les rêves, c’est pas que pour les gamins et que lui aussi, il peut toujours rêver.
Alors il lui apprend, a Kafei, il lui dit comment on fait pour jouer d’la guitare. Un peu comme le prof que ses parents n’auraient jamais pu lui payer…
Il oublia le monde un temps, a jouer en duo avec ce papy débrouillard et tous deux, ils sortirent de la solitude qui les avaient étreints. Kafei, c’était un peu le p’tit fils que l’vieux bonhomme aurait voulu avoir…

Kafei, lui, la musique c’est tout c’qu’il a, tout c’qui lui reste, tout c’qui lui restera toujours, sans aucun doute. Il ne crie pas a la révolte, il joue. Il joue a s’en faire saigner les doigts, ca le calme, ca l’aide a oublier la galère familiale pour s’embarquer tranquille vers son p’tit bout d’paradis a lui et au vieux.
A jouer comme un fou, il en finit par oublier de voir, de bouger, de parler. Quand il attrape sa guitare, tout semble éteint, a lui ca lui parait naturel mais il sent bien que ca en dérange plus d’un. Mais il s’en foutait, lui. Il se savait différent. Et n’avait de toute façon pas envie d’être comme tout le monde.

Puis un jour, son paradis fut brisé, le vieux lui adressa ses dernières paroles dans un soupir joyeux.
Non, la vie c’est pas c’que tu crois, lui dit le vieux, le travail, la vieillesse, c’est pas pour toi. T’as qu’a faire comme d’autre, qui veulent pas vieillir, deviens artiste, vis de ta musique, et t’as qu’a espérer que personne viendra t’embêter dans ton monde… Allez, va gamin, va faire un tour au pays d’l’art et d’la liberté.

Alors Kafei posa sa vieille Suzy sur le ventre du vieux, comme un ultime cadeau d’adieu et il empoigna sa valoche, sa vieille valoche en cuir abimé et il traça la route. 18 ans qu’il avait, un âge ou on peut se prendre en main, devenir mature… Ca, il voyagea, il alla un temps travailler à la menuiserie… puis repartit pour vivre ou bon lui semble… Il rencontra des gens sur les routes, des gens qui lui apprirent a peindre, a écrire comme il faut. Il fut un temps mécano, l’autre serveur et se laissa bringuebaler au gré d’la vie. Et puis un jour, on lui a raconté qu’yen avait d’autres comme lui, d’autres personnes qui pouvaient faire des… trucs.
Alors il prit une nouvelle fois sa valoche, quitta son travail monotone a deux sous et il partit ver cet endroit qu’il espérait bien pouvoir appeler son nouveau paradis tranquille.


Caractère :
Kafei n’est pas a proprement parler quelqu’un de très facile a cerner : lunatique et changeant, on ne sait jamais trop vraiment si il est sérieux. On parvient cependant a dégager deux facettes de sa personnalité.

Au quotidien, Kafei est un jeune homme exubérant et quelque peu excentrique, le tout nimbé d’une couche de sarcasme parfaitement étudié pour faire mouche. Irrévérencieux, ce jeune homme n’a rien de rebelle, cependant il reste fasciné par la découverte de ses propres capacités a titiller l’autorité le plus possible sans se faire piquer. Parfois irritant compte tenu de sa forte propension a l’irrévérence et au sarcasme incisif, il lui arrive de tenir des propos forts peu élogieux, a tel point qu’il s’attire continuellement des ennuis, envers les personnes qu’il hait le plus, les gens qui profitent de leur position sociale ou hiérarchique pour rabaisser les autres. Cependant, Kafei, loin de donner une image enfantine présente une certaine maturité dans son exubérance. Son calme constant y contribue en grande partie.

Quand viennent certains jours de pluie ou de fatigue, le mutant apellé Flow par ses amis se fait plus silencieux, moins sarcastique, moins exhubérant. Ces jours là, ou il jette un regard lassé par la fenêtre, on le sent ailleurs. Il se fait plus sage et moins turbulent, d’un calme impassible éternellement figé d’un doux sourire rêveur. Ces jours ci, il se fait plus silencieux, évitant de parler pour ne rien dire d’utile, et si parfois il parait dans la lune, il lui arrive de sortir des phrases qui laissent présager qu’il a tout écouté.
Il se fait plus simple, plus amical et laisse tomber tous les subterfuges de l’esprit. La déprime lui est nécessaire, de temps en temps, et elle l’enchante plutôt qu’elle ne le mine.

Ambitions : Rester tranquille et vivre au jour le jour.
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