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 Eric Durocher

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AuteurMessage
Ralckor
Paladin de la Lanterne
Ralckor


Nombre de messages : 277
Age : 36
Date d'inscription : 18/02/2007

Eric Durocher Empty
MessageSujet: Eric Durocher   Eric Durocher Icon_minitimeVen 29 Juin - 15:09

http://www.lezebre.lu/popup_image.php?pID=1508


I. Renseignements généraux

[†] Nom : Durocher
[†] Prénom : Eric
[†] Surnom : Le branck chez les journalistes, Durcogne chez les bagarreurs de rue de Paris
[†] Âge : 34 ans
[†] Race : Humain
[†] Lieu de naissance : Paris
[†] Parti : Tel est la question que je me pose chère Madame Roxane
[†] Statut : Chez les nobles
[†] Fonction : Vraisemblablement esclave, maintenant il ne faut plus que trouver le maître … (Ou la maîtresse)

[†] Sentiments vis à vis des jumeaux et vampires:

Ça c’est du scoop !! Des photos, la presse, il faut prévenir tout le monde, les vampires existent !

Eric se souviens de ces comptes de bonne fée ou l’on parlait des vampires, ces êtres craints de tous alors qu’on croyait qu’ils n’existaient pas. Comment ce que nous ne connaissions pas, pouvait nous faire aussi peur ? Justement parce qu’on ne sais rien d’eux, l'inconnu effraye. Peut être alors qu’en révélant la vérité les vampires paraîtront moins effrayants ? Qui sais … Et puis est-ce qu’ils sont vraiment vulnérable à l’ail ? N’ont il aucun reflet dans un miroir ?

Les sentiments d’Eric se résumeraient alors ainsi : excitation, de rencontrer des personnage de légende, crainte, car les légendes ne sont pas très flatteuses, et curiosité, car après tout où est la réalité, où est la légende ?

II. Descriptions

[†] Description physique : Eric est le type même du reporter casse-coup, celui la même qui ne porte jamais de tenue pompeuse et disant toujours ce qu’il pense.
C’est un homme grand d’1 mètre 85, doté d’une musculature des plus correctes et d’épaules larges, on pourrait penser que c’est un homme d’action, un ancien militaire ou gendarme dans le GIGN mais en fait il n’en est rien.
Il fait partie de ces gens un peu nonchalant un sourire souvent accroché aux lèvres. Son visage retrace l’histoire de sa vie, son nez a été cassé semble t-il en vue de sa forme abrupte, sa peau est légèrement bronzée, comme quelqu’un qui passe son temps sur le terrain.
Ses yeux noisettes sont vifs et semblent s’attacher à toutes sortes de détails parfois insignifiant, mais pour quelqu’un qui est aussi photographe il faut avoir le coup d’œil !
Il porte toujours une chemise déboutonné sur le haut, et sa cravate n’est jamais serrée. Presque tout le temps mal rasé, ses cheveux sont tout aussi indiscipliné que sa chemise.
Petit détaille qui tue, il à souvent un cure dent qu’il mâchonne, pour le style ? Ou par habitude ? Ça personne ne le sais.

[†] Description caractérielle : Caractériel ? Vous avez dit caractériel ? Oui il l’est parfois. Possédant une forte personnalité et une envie de liberté clairement affirmée, il n’aime pas qu’on lui tienne la bride ou qu’on le traite en toutou serviable. Certains diront que c’est un peut un chien errant, un chien fou et le connaître mieux ne fait que renforcer cette idée.
Cependant il est différents de ses pairs, beaucoup le voient comme un journaliste à scandale, prêt à tout pour un scoop, mais il n’en est rien. Pour lui les paparazzis et les affabulateurs sont tout simplement des incompétents incapables d’écrire un bon article.
Bien sur il aime le scandale, le scoop et souvent ouvrir les yeux des autres, mais il à un minimum de morale, certains diront que c’est un défaut, d’autres une qualité, lui s’en fous royalement, c’est comme ça et puis c’est tout.

[†] Histoire :
Pour cette partie on pourrait imaginer un homme à la barbe blanche, une pipe à la bouche se demandant par ou commencer alors qu’il fait face à une vielle machine à écrire des années 50.

« Ha oui ! »

Eric est né dans une famille moyenne de Paris, pas très riche, mais pas pauvre non plus. Il était l’un de ces adolescents un peu renfermé, presque prédestiné à mal finir, parlant peu mais l’ouvrant grand quand il le faisait. Défiant l’autorité d’un père alcoolique et d’une mère hystérique il garda son goût de liberté de ce moment la.
Il commença même à prendre des cours de boxe française, qu’il aimait à mélanger avec du combat de rue. De temps en temps une petite ligne pour se détendre et puis voilà, bref la vie s’écoulait monotone quitte à ne pas être super agréable.
Puis, vers ses 19 ans, il se produisit un événement qui changea le cours de sa vie. Alors qu’il traînait dans les rues pas plutôt mal famée pour se fournir en matière première un petit groupe de trois gars le choisi pour cible...
S'ensuivit des échanges brutaux, des insultes qui aurait fait rougir de honte le marquis de Sade. Pour faire court, c’était pas joli à voir...

*Cling* Ha zut ! Faut remplacer la bande !

Eric se retrouva contusionné et dans un état pas très reluisant, appréciant visiblement le contacte du caniveau. Certes il avait rendus coups pour coups, mais à trois contre un, ce n’est pas toujours suffisant.
Mal assuré, il se redressa, tremblant, glissa et retomba. Une main se tendit pour l’aider.

-Hé gamin, j’ai vue comment tu t’es débrouillé contre ces trois guignols, ça te dit de te faire du pognon facile ?

-C’est quoi le piège ?

-Y’a pas de piège, tu te bats bien, et j’ai le coup d’œil pour voir ceux qui ont du potentiel, si tu acceptes, ça sera ça.

Sur ces mots l’homme jeta une liasse de billet juste à coté d’Eric, ce dernier les examinas, ça faisait un sacré paquet ! Il saisit la main et se releva …

S'ensuivit une période particulière dans la vie d’Eric, il était devenu un bagarreur de rue, l’un de ces gars qui combattait en toute illégalité dans des cages pour gagner de l’argent et amuser la galerie. Certains disait que c’était les gladiateurs modernes, lui n’y voyait que le moyen de se défouler et de gagner de l’argent. Pendant plusieurs années il continua cette activité, gravissant les échelons peu à peu. C’est là qu’il apprit le Krav maga, l’art martial Israëlien qui est réputé pour sa violence. Il développa finalement son propre mélange entre cet art martial, la boxe française et le combat de rue. Il était apprécié car il se montrait tenace en combat et ses victoires étaient souvent spectaculaires, c’est la aussi qu’il obtint son surnom de « Durcogne »
Il gagnait, il perdait parfois, mais il empochait à chaque fois sa part.
Cependant au fil de sa carrière il se mettait à réfléchir à quoi faire d’autre dans sa vie, son « entraîneur » y vit l’opportunité de se débarrasser de ce combattant pour prendre un nouveau poulain qui lui n’avait aucun remords pour achever ses adversaires...

C’est ainsi que prit fin la carrière de Durcogne, on le balança d’une voiture avec suffisamment de drogue dans le sang pour que sa disparition ai l’air ... normale.
Cependant, c’était peut être son jour de chance mais finalement quelqu’un se soucia de ce type de 26 ans qui se retrouvait pour la seconde fois de sa vie dans le caniveau.
Il fut amené à l’hôpital, récupéra rapidement et bien qu’il souffrait de maux de têtes à assommer un cheval il se souvenait clairement qui était l’enfoiré qui l’avait mit dans cet état. Cependant Eric n’était pas de ce genre de personne qui tue par vengeance, cependant il fut prit d’une envie, aussi subite que saugrenue. Pendant qu’il récupérait à l’hôpital, entouré de belles infirmières il se mit à écrire, il s’amusa même à écrire un « article » décrivant tout les détails des combats de rue, ainsi que les personnes inculpées avec les preuves nécessaire pour qu’ils aillent faire un long séjours au frais.
Une fois rétablit il revint sur les lieux de ses victoires, prit plusieurs photos avec un appareil jetable et envoya le tout à une chaîne de télévision, sans trop y croire.
Quelle ne fut pas sa surprise en voyant qu’on parlait de lui aux infos et qu’on le désignait comme un informateur « inconnu ». Il saisit alors sa chance, car si on avait parlé de lui à la télé, c’est que son travail était apprécié !

C’est ainsi que Eric commença sa seconde carrière, celle de reporter. Ses anciennes activités lui fournissait un réseau stable d’informateurs divers, ainsi que la ténacité nécessaire pour ce genre de métier. Il prit vite goût à cette vie d’aventure et d’écriture, bien qu’un peu sonné la plupart du temps il était sans doute l’un des meilleurs reporter de choc, envoyé au confins du monde pour prendre des photos sur les conflits, sur le démantèlement musclé d’un réseau de drogue, ou encore un petit coup de poings dans la tronche d’un trafiquant d’organe, c’était pour lui et il ne s’en plaignait pas.
Malgré son caractère, il s’était fait quelques amis et un jour arriva où il demanda un service à l’une de ses amie.

Il avait un Scoop d’enfer ! Un trafique d’être humain rien que ça ! Il s’était montré tellement enthousiaste devant la piste qu’il avait que son patron le freina, il voulait être sur de ce que le reporter disait, surtout qu'à chaque fois qu’il prenait du matériel de la rédaction il revenait généralement dans un sale état. Hors on venait de repeindre la camionnette qu’il demandait pour le transport du matériel vidéo.

Finalement il entra en contacte avec son amie qui travaillait à l’opéra de Paris, en lui disant qu’il avait un scoop d’enfer.
C’est pour l’effet dramatique de l’instant? Rajouta-t-elle
Il ne répondit pas, et embringua Ester dans son enquête, et quand elle demanda ce qu’elle venait faire la dedans, il lui fit la remarque qu’elle était la seule à posséder une camionnette assez grande pour transporter son matériel vidéo.
Ce à quoi elle souligna de juste que SA camionnette était celle de l’Opéra, et qu’une même camionnette était à la disposition de tout reporter dans les locaux de la chaîne télévisé du dit reporter. Sauf quand on prend le reporter pour un malade, justifia l’homme concerné.
C’est ainsi qu’Eric se retrouva dans une camionnette avec un cameraman et une costumière en embuscade à observer un embarcadère de la zone industrielle de Dunkerque.
Cette dernière fit la remarque –sous les Chuuuut ! et tais toi- insistant des deux hommes que Dunkerque possédait un très amusant carnaval et qu’une camionnette flanqué des blasons de l’Opéra de Paris n’était pas le summum de la discrétion pour l’espionnage.
-En Effet.
Fut la dernière phrase que prononça Eric, après un instant de réflexion, avant de se retrouver en Islande.

III. Dans la vie courante

[†] Style de combat : Pour le combat à main nue Eric est un vrai expert, malgré le fait qu’il ne combat plus dans les arènes, il s’entraîne régulièrement et maîtrise donc parfaitement son petit mélange entre boxe française, combat de rue et Krav maga.
Pour ce qui est des armes à feu il ne se débrouille pas trop mal, car dans la rue et sur le front il apprit à manipuler plusieurs armes, ce n’est pas non plus un expert mais il saura s’en servir le moment venu bien qu’il n’ai jamais tiré sur quelqu’un.

[†] Relations : A eu plusieurs histoire de cœur, mais jamais le grand amour, il ne s’est jamais marié non plus.

[†] Signes particuliers : Mis à part son nez cassé, il n’a rien d’extraordinaire.

IV. En plus heuuu ben rien ^^
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Eric Durocher
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