Rp pépère volume 1

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Reprenant la direction de l’auberge, après avoir fait sauter la moitié du vieux quartier avec la généreuse participation d’un Genasi, dont le potentiel de destruction n’est à présent plus à démontrer, Sekhmet -honneur aux dames-, Varloth –aux vieux- et ce Drow récupéré dans la demeure …. Heu ? Feu la demeure… marchaient dans les rues.

Eloignée des autres belligérants, la démone ne voyait plus l’intérêt de rester en Ocelot.

Abandonnant donc cette forme animal, elle pu montrer une variante impressionnante de tics appelés: « je m’en suis prit plein la gueule, tout de même !! »

En premier, elle boita. Puis, elle courba son dos dans un grognement de douleur. Elle passa par la démarche de grand-mère de petit village perdu dans la cambrousse. Et, Enfin, à bout de courage, elle décida de retirer ses bottes à talons, qui vraiment, dans son état, n’étaient pas conseillées !! Ultime outrage !!

-Aucun commentaire, Varloth… Aucun.

Soupira-t-elle agacée en voyant son compagnon sourire de cette situation.

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Humm... Dit Varloth, en se mordant la lèvre inférieur pour ne pas rire, ou lacher une plaisanterie. Ce n'était pas trop le moment, surtout dans son état!

Lui même n'avait pas complètement échappé aux désagréments notoire de l'explosion : il était contusionné, et s'était receptionné dans des ronces... Mais il faisait le mieux pour qu'elle ne le visse pas.

Ce qui serait plus difficile en revanche, serait de lui cacher qu'il ne pourrait plus utiliser de sorts avant un bon bout de temps...

Il espérait toutefois que ses pouvoirs naturel, eux, ne l'avait pas quitté... Même temporairement. Car ça, ça serait vraiment embêtant pour lui...

Plus que jamais, je ressemble à un humain, pensa-t-il, amer.

Je t'aurais bien aidé, dit-il, mais tu m'as déjà confié ce drow... Que comptes-tu en faire..?

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Il pourra être un larbin, un appât, une source de renseignement, un jouet sexuel, un esclave, un cadeau pour Bregan D’Aerthe ou un sacrifice pour Lolth histoire de te faire bien voir des prêtresses en tant voulu.

Elle se remit à marcher bottes à la main et boîtante.

Tu devrais ligoter ses mains, le charger sur ton dos en passant ses bras, liés, autour de ton coup et soulever ses jambes.

Elle sourit, moqueuse…

Tu n’as vraiment pas l’habitude de transporter des êtres encore vivants, hein ?

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Et je n'ai pas de corde..., dit-il. Enfin si, mais je préfère garder sa longueur intacte. Et une corde de 10 mètres pour ficeler un prisonnier...

Et oui, je n'ai pas l'habitude de traîner un vivant! D'habitude, j'assassine, et on en parle plus, dit-il, non sans amusement. Au pire, je planque le corp, ou je l'incinère...

Sache au fait que cette fois si je ne dépenserais pas mes potions pour que tu guérisses plus vite. Si tu es dans cet état, c'est ta responsabilité.

Et de toute façon, je n'ai plus de potions, ajouta-t-il. Pas curative en tout cas.
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Hum… d’accord. Alors passe moi ce Drow, il est à moi, c’est moi qui l’est sauvée.

Dit-elle avec froideur.

J’vais lui apprendre à ce jeunot de serviteur de Vhaeraun à me respecter... Pfff... "ta responsabilité"... Il ne se rend même pas compte que j'ai fait ça pour lui!

Elle arracha littéralement l’elfe noir des bras de son congénère.

Je vais au Horny horse. Débrouille toi avec la facture de l’autre auberge, ce n’est plus mon problème.

Sekhment poussait le bouchon à peu loin, mais, tout en embarquant sur son épaule le gamin, elle s’amusait déjà du désarrois dans lequel elle plongeait Varloth, mais, la douleur la ramena bien vite à la situation présente. Elle se mit en route vers le lieu de débauche de la ville.
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Soit...

Vexé, fatigué, par dessus tout, frustré, Varloth refusa de céder à son petit jeu. Il la laissa aller avec son drow, en allant récupérer son équipement restant à l'auberge.

Débrouille toi pour la facture qu'elle avait dit! C'était bien ce qu'il faisait depuis qu'ils s'étaient installés là, et elle n'avait rien fait d'autre que lui mettre des batons dans les roues!

Sans compter qu'elle jouait avec les mots, voir même ignorait ses paroles. N'avait-elle pas entendue? Il n'avait plus de potions! Et plus d'argent... Plus de pouvoirs magique. Peut-être même plus ses capacités innée...
Il rentra à l'auberge, et rentra dans sa chambre, sachant qu'il ne pourrait pas sortir par l'entrée principale, car les clients devait payer à chaque fois qu'ils quittaient l'auberge. Il rassembla ses affaires en ruminant ses sombres pensées, puis ouvrit la fenêtre, et sauta. Il devait trouver un refuge dont la garanti ne repose pas sur son or, qu'il n'avait plus...

Il attérit tant bien que mal, dans un craquement sonore, de mauvais augure... Il n'avait put ralentir sa chute par lévitation...

Grimaçant de douleur, il enleva sa botte, mais constata que la fracture n'était pas ouverte...

Au moins, je suis fixé, se dit-il tout bas... N'osant toucher à sa blessure encore chaude, il resta appuyé contre le mur un moment...

Cette fois, c'est sûr, je n'ai plus rien de drow. Souhaitant la paix, il rangea l'amulette dans sa sacoche : ainsi, Sekhmet ne pourrait le retrouver grâce à elle. Pour le moment, il voulait être seul, comme avant en ombre terre, simple drow, maître de sa destinée.

Il avait refléchi longtemps avant d'accepter de devenir élu de Vhaeraun, mais manifestement pas assez. Il se demanda si ce qu'il avait gagné était supérieur à ce qu'il avait perdu...

Il se sentit semblable à une coquille vide...

[hrp] t'es sadiques Zok : Sekhmet à un comportement qui est totalement incompréhensible pour Varloth! Comment veux-tu qu'il s'en aperçoivent qu'elle ai fait ça pour lui?[/hrp]
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Veille sur lui. Les ordres étaient précis et malgré les souffrances de sont corps, une fois le gaillard déposé dans une chambre du « horny horse », ligoté comme un saucisson, bien sur, elle était revenu sur ses pas.
Elle ne sentait plus la présence de Varloth contre la chaîne (l’amulette), cela l’inquiétait et elle sentit une vie qui lui était familière derrière l’auberge.

Elle vint s’accroupir devant lui.

-Que t’arrive-t-il ? Varloth ? Tu sembles perdu ? C'est mon départ qui t'as mit dans cet état? C'est presque flatteur... Mais tu sais bien que je blaguais. Je n’allais pas t’abandonner.

Elle rajouta pour ne pas paraître trop gentille, tout de même, elle a une réputation à tenir :

Pas envie de me faire tuer par Vhaeraun….
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Varloth se sentait, comment dire, "flou"... Comme après avoir trop but. La douleur et la fatigue pensa-t-il.

Entendant Sekhmet, il soupira.

Blague ou pas, je ne suis pas en état de supporter qui que ce soit, pas même mon propre corp, répliqua Varloth. J'essayait simplement de m'eclipser de l'auberge quand j'ai eu un petit... Imprévu.

Il dut se mordre la langue pour ne pas avouer qu'il ne possédait quasiement plus rien... Et sans le collier autour du coup, ni la force pour le remettre, il se sentait plus proche de la mort que depuis longtemps... Il se morigéna pour cet instant de faiblesse, si malvenu.

Puis-je savoir ce que tu fais là? Dit-il en tentant de paraître détendu. Il s'était mis dans ce pétrin tout seul, il n'avait plus le collier. Elle pouvait partir sans craindre Vhaeraun. Du moins le pensait-il, puisque Vhaeraun ne devait pas lui avoir tout dis.
Il n'avait même plus la force de s'énerver.

Vide... Complètement vide... Désolé Sekhmet, je crains que... Furent les seul mot qu'il put articuler avant de tourner de l'oeil.
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VARLOTH ?!

Maudits réflexes félin qui veulent qu’on s’attache à celui qui détient le portefeuille, donc celui qui donne la nourriture, Sekhmet penserait ça, d’ici quelque minutes, mais pour le moment, elle retint la chute de côté du Drow, l'appellant d'une voix inquiéte.
Vhaeraun avait bien calculé son coup, en donnant le bout de la laisse à son élu, le démon-fauve s’attacherait à lui, s’était courut d’avance.

Elle le souleva, comme on prend dans ses bras un enfant qui s’est endormi, passant l’un des bras du Drow autour de son cou et attrapant ses jambes et son dos.

Pff… C’est frustrant les Drows… j’ai l’impression d’être le mâle, or, chez nous autres, fauves, ce sont les mâles qui dominent…enfin, qui essayent de dominer. Ne pas oublier sa.... botte??

Sekhmet s'appercut enfin qu’il avait retiré une botte, elle regarda au dessus d’eux, quelques étages plus haut la fenêtre de leur chambre était ouverte, elle comprit.

Petit crétin, tu comptes trop sur les capacités de ta race et la magie.

Elle se releva le portant, grimaça sous la douleurs de ses côtes s’entrechoquant.

GRrrrrAa... J’ai déjà... été... dans un pire état… et ma santé.. passe après. Maudit drow.

Elle s’en alla ainsi vers l’"horny horse".

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Elle traversa les rues, marchant aussi vite que ses courbatures lui permettait, pestant à chaque pas sur les Elfes à la peau sombres et incompétance.

Arrivant à l’établissement, elle passa par derrière pour être discrète vis-à-vis de la clientèle.
Cette porte était toujours ouverte, il suffisait juste de la pousser du pied pour entrer, ce que fit Sekhmet et, rapidement, la patronne montra le bout de son nez, mère maquerelle digne de ce nom par son aspect.

-Qu’est-ce que vous m’amenez encore? Demanda, inquiéte, l'humaine maquillée comme un cheval volé
-Un ami. Répondit froidement la Féline créature.
-Encore? Non non non! Elle agita unn index réprobateur. Là ça fait trop d’hommes logés dans notre établissement, je…
-Je double le paiement. Je vous prendrais quatre de vos clients, ceux que vous voudrez, même les plus exigents.
-Hum… la dame bien en chair réfléchit. Je ne sais pas si autant d'eux vont aimer l’exotisme.
-Et bien choisissez un autre mode de paiement. Mais lui. Dit-elle en regardant Varloth, reste ici, je ne vous donne pas le choix.
Grogna Sekhmet la femelle excédée par le poids du Drow et la douleur de ses membres.
-Ne vous énervez pas ! Portez le dans la chambre. Elle constata la frêle taille de l’homme. Je ne me trompe pas, c’est un demi-elfe ça ?
-Moui. Sekhmet gravit les marches. Si vous pouviez m’amener votre médecin.
-Allons bon !!! 5 CLIENTs !

La démone en rit ce qui n’arrangeaient pas ses côtes devenues si sensibles par le poids du dôme.
Une où deux de brisées… songea-t-elle.

La chambre était simple mais propre, 2 lits dans les combles du grenier. Sur l’un deux, un Drow attaché à la manière d’un rôti, à côté de lui, un vieil homme, adipeux qui semblait le soigner du mieux qu’il pouvait.
-Un nouveau client.
Déclara Sekhmet en entrant et voyant avec plaisir que le médecin n’avait pas quitté son précédant patient.
Il passe avant l’autre.

Elle déposa son colis sur le lit et en retira le torque dévoilant la vraie nature de Varloth. Elle en profita pour confisquer la chaîne, juste paiement en retour quelle glissa autour de son cou redevenant ainsi son propre maitre.
Le médecin parut horrifié : no..non non… pas encore un …
-Elfe noir. Si. Lui doit être très bien traiter, s'il lui arrive quoi que ce soit, je vous offrirai un allé direct pour l’underdark où il y a plein de petits drows qui seront ravit de vous rencontrer.
Je vous laisse, je dois bosser.
-Votre dos ? Votre genou ? Votre épaule.
-Plus tard, je dois payer cette chambre… Sekhmet disparut dans le couloir.
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Varloth venait de se reveiller, un mal de crâne horrible, une douleur aussi désagréable dans la jambe, et un dos douloureux. Il se sentait détaché de tout. La seule chose qui lui semblait en ce moment tangible, c'était le plafond.

Aussi, il le fixa afin de retrouver ses esprits.

Et peu à peu, la salle dans laquelle il se trouvait lui devint plus net. Il vit un autre lit, où un elfe noir était saucissoné comme... un saucisson. Incapable de le reconaître sur le coup, il dut fouiller dans sa mémoire, pour se souvenir de sa tête.

Et se dont il se souvint ne lui plut pas du tout.

Car il venait de se rappeler qu'il était démuni de tout pouvoir magique, innés ou non. Qu'il avait une jambe cassée, et que ce devait sans aucun doute possible Sekhmet qui venait de l'ammener ici.

Que va-t-elle me demander en retour? se demanda-t-il. Mais au fond, peu lui importait. Il avait quasiment tout perdu, alors à quoi bon s'inquiéter pour si peu?
En comparaison, ce qu'elle exigerait serait dérisoir...

Dérisoir... Tout comme sa propore personne. Par sa fierté, son impétuosité, et sa tendance à s'enerver, il avait perdu beaucoup de chose aujourd'hui.

Jamais on ne m'y reprendras, pensa-t-il. Puis il compris que sa dernière arme restante était son intelligence.
Il n'avait désormais plus que ça pour survivre, et devenir plus puissant.

Etait-ce un défi lancé par Vhaeraun? Qui voulait voir comment il allait s'en sortir?

Défi relevé... murmura-t-il.

Le docteur se tourna alors vers lui :
-Reveillé?
-Quelle est votre diagnostique? demanda Varloth, identifiant de suite la fonction de l'individu. Nerveux, celui-ci répondit :
-Au lit pendant trois jours, au moins. Si vous voulez vous retrouver en pleine forme au bout de cette période... Sinon ça sera beaucoup plus long, je le crains.
-Bien... J'imagine que c'est un prix minime à payer pour se remettre d'une fracture?
-Heu... Oui... Vous avez de la chance que j'ai des talents de guérisseur... Sinon ça aurait été six mois!

Comme quoi tout ne va pas si mal?

-Et Sekhmet?
-Votre, heu, compagne?
-Pas vraiment... Mais admettons.
-Je ne sais pas. Mais elle ne risque pas de me revenir en bon état... Elle est allée payer la chambre... Mais j'aurais préféré qu'elle se soigne avant...

Varloth soupira. Un répis au moins, si elle est fatiguée...
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Une femme entra, en tenue de travail adéquate pour cet établissement, elle ne prit garde de suite aux drows, elle alla directement murmurer à l’oreille du médecin.
-Vous pouvez venir en cuisine, la femme aux tatouages bizarres...

Elle regarda enfin vers les lits et dit, surprise : Mais qu’est-ce qui est arrivé à ces Elfes pour qu’ils soient tout noirs ????
Le médecin se leva et poussa l’humaine hors de la pièce en sortant tout en expliquant: ne reste pas là ! Ils sont dangereux !
-A bon ? Pourquoi ?
-Justement, parce qu’ils sont noirs
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Varloth lança, car il avait entendu la conversation :

Vous avez tout intérêt à bien travailler. Croyez moi... Et méfiez vous de se que vous dites et de ce que vous faites, quand vous serez en face d'elle... En admettant qu'elle soit en état de vous entendre...

Varloth s'avisa soudain qu'il ne sentait plus aussi distinctement l'aura de Sekhmet...
Cherchant dans son sac... Il ne trouva pas la chaîne.

Damnation! Comment tourner la situation à son avantage? Il va falloir trouver un moyen de la retenir. Pas question de la laisser partir, ce serait avouer sa défaite.

Fierté? Varloth fronça les sourcils. Non. Si elle part, je la laisserai partir. Lui donner la sensation que son départ lui importait peu? Encore non, car elle en profiterai.

Simplement lui donner l'impression qu'elle n'a rien remporté du tout?

nuance subtile, et bon compomis, pensa-t-il.
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Dans la Cuisine :

-Merci ! Un Zoophile !! Parfait !! Il m’a prit pour un gros matou ce crétin !!!!
Grognait Sekhmet, courbée sur un tabouret, le dos en sang, à l’égard de la patronne.
RGRRRAaaa mais faites donc doucement !!
-J’essaye ! Fit l’apprenti qui épongeait les longues cicatrices alors que de douleur la Féline rugissait tentant, par instinct défensif, de mordre son soigneur.
-Il n’a pas été de main morte avec le … constata le médecin qui venait d’arriver.
-LA cravache…. JE HAIE LES MALES !

La patronne prit la parole, comptant et vérifiant la matière des pièces contenues dans une bourse, une à une.
-Ho ! Vous les haïssait mais ce n’est pas réciproque ! Il a laissé un bon pourboire qui payera au moins deux nuit ici.
-En tout cas il devait avoir un grief contre les chats ! Commenta la femme-chat. Bon, si je paye d'avance les nuits des deux Elfes? Nous serons quitte?
-Il vous faudrait encore deux clients comme lui... Au moins....
-Ca tombe bien, il en redemande et il repassera demain. En attendant, j'ai ouie dire que vous aviez un fana du sang dans vos murs? C'est le moment où jamais d'aller le voir.
Titubante, Sekhmet se releva. Quelle chambre?
-je vous y conduis. Répondit la mère maquerelle.

Vendre son corps pour payer des chambres,,,, sssttt… mais après tout, nous autre, femmes, sommes chanceuses. Nous avons la force, le pouvoir de la procréation, l’intelligence et surtout le sexe pour obtenir la puissance. Songeait la féline alors que cette même situation aurait outré plus d’une autre personne.

-Vous devez vous soignez! Ordonna le médecin qui ne fut nullement écouté.
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Un homme entra dans l’horny horse.
Il était grand et était entièrement caché sous des vêtements sombres teintés de pourpre, ses vêtements, bien que pratique, étaient finement coupés et les reflets pourpres s’apaisaient en fonction de l’éclairage.
Il avait des bottes souples, d’un rouge sombre, remontant jusqu'à mi mollet.
On n’entendait pas un seul bruit de pas, en revanche, on entendait comme un léger cliquetis pendant un instant, qui ce tu juste au moment d’entrer dans le bâtiment.
Il venait de temps en temps ici, connaissant un bon nombre des filles « régulières » de ce bordel.
Mais aujourd’hui, il voulait quelque chose de différent, quelque chose de plus exotique et après une brève discutions avec la tenancière, il fut envoyé dans une chambre, sois disant qu’elle avait exactement ce qu’il fallait sous la main …
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La porte de la chambre s’ouvrit, une odeur entêtante d’opium et d’orchidée envahit la pièce et au milieu de ses vapeurs, tenant une élégante et fine pipe d’or de la longueur d’un porte cigarette, une femme aux cheveux de feux méché de noir et d’or.

Ses yeux verts semblaient luire dans le noir, la fine fente de ses pupilles tranchant au dessus du reste. Sekhmet jaugeait de la « pièce » qu’elle devrait supporter quelques heures.

Cette femme s’avança, dédaigneuse, grande et athlétique, mais, irradiant d’une beauté différente des autres femelles, irradiant de la beauté d'une ex-déesse...

Elle était vêtue d’or et de blanc, portant un large gorgerin, qui couvrait son cou et ses épaules à nues, de mailles d’or imitant les fleurs de papyrus au travers desquels sa peau d’ambre, imberbe, apparaissait striée d’étranges tatouages pareil au pelage d’un fauve.
Ce gorgerin s’arrêtait au dessus de la pointe des seins laissant place à un robe blanche translucide semblable à une fine toile d’araignée posé sur un corps nu.

Aux pieds, elle arborait d’étranges sandales de cuir aux incrustations dorées dont les lacets remontaient le long de ses fins mollets.
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Zedrar jouait en faisant tenir la pointe d’une fine dague, avec une pierre ovale au bout du manche, au bout de son index, quand enfin la porte s’ouvrit. Il jeta la dague en l’air, se demandant se qu’était cette fille si exotique.
Quand il se tourna la surprise fut complète si bien qu’il rattrapa la dague à pleine main du coté de la lame, cela ne semblait pas le gêner le moins du monde, il était bouche bée sous sa capuche qu’il releva pour mieux examiner la nouvelle venue.
Il avait la peau rouge, les cheveux rouges, les yeux rouges (…). Ses cheveux était long et cascadaient sur le début de ses épaules.

"On dirait que la patronne ne m’avait pas mentie …"

Le Génasie examina Sekhmet de la tête aux pieds puis rangea enfin sa dague. La démone pu entendre un léger cliquetis dans ses mouvement et, enfin, elle remarqua une amulette représentant le symbole de Loviathar qui pendais autours du cou de l’extra planaire.
Il resta un instant assis comme pour éviter de tomber soufflé par la beauté de la femme chat.

"Alors c’est donc toi cette fille « exotique » ? hé bien je ne suis pas déçu !"

Zedrar poussa un léger rire se demandant comment elle allait réagir.
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Tes compliments n’entraîneront aucunes réductions de mes tarifs. Ils te font jute gaspiller ta salive.

Dit-elle de sa voix roque mais pourtant sensuelle, en prenant une bouffée de son étrange mélange dont elle recracha la fumée en formant un cercle parfait.
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"Haaa tu à du caractère ! ça change de toutes ces petites idiotes ça fait plaisir"

Soudain une chaîne clouté se dégagea de lavant bras droit du génasi et vin se poster juste devant le visage de la démone.
Elle était fini par une longue dent tranchante et elle semblait ondulé comme un serpent devant le visage de Sekmet quand un seconde chaîne se dégagea du bras gauche du génasie et s’approcha lentement de la femme chat, celle ci finissait pas une boulé métallique renforcé

"Tout doux mes belles on se calme."

Le génasie semblait parler à ses chaînes comme à des être vivant.

"Elles doivent être jalouse."

Zédrar eu un sourire amusé alors que les chaînes revenait et ondulait à auteur du visage de leur maître.
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Elle releva un sourcil devant ce spectacle, sans le moindre sourire. Puis, de dépit, elle se pinça le haut du nez.

Par le string en plume de Shaîtan ! Voilà que je dois me taper la petite sœur d’Andromède!

Songea la démone qui se rappelait ce drôle de manga animé, venant d'un de ces mondes de Loi, sans aucunes scènes de sexes, dont Loki avait imposé le visionnage lors d’une de ses soirées bière.

-Je crois que la tenancière à du se tromper. Pour toi, il te faut une gamine, au moins, elle sera impressionnée par ton numéro de jonglerie… fallait que je m’en doute, tu as déjà le physique d’un clown !

Oui, En effet, la féline n’était pas d’humeur joyeuse mais d’humeur acerbe. Elle avait le dos en sang, quelques côtes de brisée, un épaule et un genoux endoloris... Elle aurait préféré avoir un médecin comme client ou un kiné, c'est bien un kiné.

Tu comptes nous faire quoi ? Un tricot avec tes chaînes ?? J’imagine très bien le pull en cotte de maille.

Elle éclata dans rire aigue et bruyant, rejetant sa tête en arrière, son index, courbé, posé élégamment sur sa lèvre inférieure.
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Zédrar fut quelque peu surpris puis éclata de rire avec la démone

"Si tu crois que c’est du jonglage, tu te trompes ! Tu es acerbe. Qu’est-ce qui te rend comme ça … hum ? Une déception ? Peut être … La douleur ? Ha oui, la douleur c’est certainement ça.
J’ai de bonne compétence en anatomie et quelques atouts"

Sur ces mots, le Génasie se leva alors que les chaînes reprenaient leurs places, il tapota la joue de la démone quand tout à coup elle lui mordit la main.
Zédrar grogna légèrement mais ne retira pas sa main de la mâchoire du félin.

"Fougueuse et Féline."

Dit il avec un sourire, sous ses dents Sekhmet pouvait sentir que la peau du Génasie, surtout ses mains, semblait apte à encaisser ce genre de petite blessure car il ne saigna presque pas.
Finalement il murmura.
« Les souffrances de Loviathar s’apaisent »
Soudain, la femme chat se senti, tout à coup, beaucoup mieux, son genou et son épaule ne lui faisaient plus mal, son dos ne saignait plus et elle ne sentait presque plus ses cotes douloureuses.

"Comme je l’ai dit je m’y connais en anatomie …Et si vous vouliez bien me lâcher peut être que je pourrais vous montrez que je me débrouille plutôt bien en massage …"

Le Génasie ne se souciait visiblement que du fait que Sekhmet le tienne sinon il ne semblait pas trop gêné par la douleur.
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hARnnnGGgggrrrrrrrrRRRRRRRRRRRrrrr.

Un grognement sourd et lourd de menace répondit à sa phrase.
La femme-animal le regarda avec vindicte et sournoiserie, en bref un regard typique de chat.
Parfois, elle avait d’étranges comportements, et ce fut l’une de ces fois là. Elle enfonça autant que possible ses longs crocs d’ivoire et de nacre et secoua vivement la tête pour arracher le plus de peau et de chair que la main, qui l’avait touchée de cette manière trop familière, pouvait lui offrir.
Alors que de ses mains elle cherchait à désarmer le Genasi.

Après tout, un adepte de le Loviathar, il fallait qu’il en ait pour son argent pensait-elle amusée.

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Et pendant ce temps... Pas à Vera Cruz :

Varloth, toujours allongé sur le lit reflechissait à ce qu'il allait faire. Se sentir démuni de ses pouvoirs était déconcertant. Mais ça lui avait ouvert les yeux sur une chose : il n'utilisait plus beaucoup son intelligence depuis qu'il les avait acquis, c'était une certitude...
Mais il ne pourrait s'en sortir tout seul.
Jusqu'ici, je négligeait l'aide de Sekhmet, pensa-t-il... Il va peut-être falloir que je réfléchisse à se sujet. Mais rien que le fait d'y penser était déjà difficile.
Ah quoi bon se fatiguer? se répéta-t-il : j'ai déjà perdu toute fierté...
Fermant les yeux, il se calma pour réfléchire. Oublier sa fierté, sa façon de faire, n'était pas si facile que ça. Il fronça les sourcils, tachant de réflechir. Il devait perdre plusieurs de ses mauvaises habitudes...

C'est une ancienne Déesse de la destruction... Un souvenir lui vint en mémoire, alors qu'il pensait à Sekhmet :

Mystra est une petite insolente qui s'amuse à faire des expèriences de magie, à coté de la puissance qu'était Sekhmet. La sous-estimer, c'est provoquer sa perte! Tu entends?! Vhaeraun l'avait vertement tancé il y a cinquante ans...
Va pour les pouvoirs, se dit Varloth... Ce problème devrait pouvoir se régler plus rapidement que je ne le pensais. Mais ça ne veux pas dire que je dois les utiliser comme je le faisait.

Depuis déjà longtemps, il faisait tout pour cacher aux autres qu'il avait parfois besoin d'eux, en essayant de trouver seul la solution. Mais... Il avait eut besoin d'aide pour capturer Sekhmet. Car il ne se faisait pas d'illusion, Vhaeraun l'avait bel et bien aidé.
Jarlaxle et Bregan d'Aerthe aussi, quand il avait dû tuer la prêtresse!
Et maintenant, il avait besoin de celle de Sekhmet pour survivre...
Restait à savoir comment convaincre Sekhmet!

Ces reflexions lui laissait un goût amer dans la bouche, mais il se rendait compte que de toute façon, tant qu'à perdre tout semblant de fierté, ça ne serait pas plus mal. Mais... Etais-ce fierté? Ou arrogance? Ou... Les deux?

En y réflechissant... Il avait fait preuve d'arrogance, envers Sekhmet, tout d'abord, envers ceux qui auraient put l'aider ensuite. Envers ces elfes noirs de tout à l'heure, même s'ils étaient passablement dégénérés, ça n'avait rien arrangé.

Bah... on verra. Pour le moment, il allait interroger ce drow, minable, qui gisait dans l'autre lit. Il se retourna prudement pour ne pas faire de faux mouvement avec sa jambe blessée. il s'assit sur le lit, la jambe posée sur le sol. Il le regarda un instant. Il avait une folle envie de passer ses nerfs sur lui... Mais Sekhmet l'étriperais pour ça, il en était sûr. Et s'il se remettait à reflechir, il découvrirai vite que c'est cette même arrogance qui l'aurait poussé à le faire.
Chassant ses pensées troublante, il se clarifia l'esprit, inspira longuement. Puis il déclara :

-L'heure est aux explications, dit-il. Nous t'avons sorti de ta ruine de maison. Ta vie est sauve, mais il va falloir en payer le prix. Il lui laissa imaginer quelle genre de prix ça pouvait être...
-Abban del Darthiir! Cracha le drow.
Varloth ne réagit pas, seulement fixant le drow dans les yeux, calmement, durant quelque seconde.
-Allons... Ta survie vaux plus que de telles insultes, j'en suis sûr.
-Plutôt mourir, répliqua le drow, que de céder face à un lamentable rebut de notre espèce!
-Je pourrais en dire autant. Si tu es comme tout tes défunts compagnons, ce genre d'insulte ne m'atteindra pas non plus.
-Vous les avez tués! dit-il.
Varloth roula les yeux vers le plafond.
-Qu'est-ce que je disais! Depuis quand tu te préoccupes d'eux?
-Ils me protégeaient, tout comme je les protégeait.
Il me faudra trouver un équilibre à mes éventuelles alliance...
-Ce que je peux tout à fait faire si tu te montre coopératif. Sinon... Je te laisserai entre les mains de ma compagne de voyage.
Le drow ne réagit pas tout de suite, mais Varloth vit de la peur dans ses yeux. Il doit penser à une prêtresse de Lolth, se dit-il.
-Et quelles garanties aurais-je?
-Je puis t'accorder le cas échéant une mort rapide et sans douleur.
Le drow marmona quelque chose : "comme tu parles d'une garantie..."
Et c'est le moins que je puisse faire. En attendant ce "cas échéant", tu pourras te rendre utile. pas dans cet état bien sûr.
-Un répis, tout au plus.
-Je te donne une chance, que veux-tu de plus? Si tu ne la saisit pas, tu ne pourras plus jamais en saisir une autre.

Le drow se tut, et se retourna sur son lit, l'air bougon.
Varloth souria, satisfait, avant de se recoucher lui-même.
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Le génasie fut quelque peu amusé par la démone qui se démenait pour lui faire mal. Les douleurs qu’elle lui infligeait, n’étaient que de la rigolade comparée à ce qu’il pouvait endurer.
Il ricana un instant et quand Sekhmet constata que les chaînes étaient solidement fixé à la ceinture de Zérar, il lui saisi le coup de sa main libre et appuya avec son pouce en un point donné.
Une douleur fulgurante frappa les nerfs de la femme chat, qui tomba un genou à terre sans pour autant lâcher, les chaînes ressortirent de sous les manches du génasie et entourèrent la déesse déchut qui pu constater que c’était des chaînes cloutées.
Tout en maintenant sa prise sur le point de douleurs Zérar regarda Sekhmet droit dans les yeux.

"Si tu crois me faire plier sous la douleur, tu ne pourras que perdre, je suis plus fort que toi dans ce domaine … Je sens pourtant une grande puissance en toi et tu pourrais sans doute me battre dans d’autres circonstances."

Les chaînes resserrèrent leur prise.

"Souffrance ! Agoni ! Ca suffit !"

Les deux serpents de métal se rétractèrent rapidement, tout comme la prise du génasi et la femme chat pu constater qu’elle n’avait pas occasionné les dégâts voulut à la main prisonnière. Il reprit d’une voix calme et tranquille un petit sourire aux lèvres.

"Ma proposition d’un massage tient toujours."
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Cette rencontre plaisait de plus en plus à la féline…
Une sorte de Korheinan de remplacement, un jouet de passage, un portefeuille à l’occasion si elle arrivait à lui plaire.
Prostré au sol, elle ne pu s’empêcher de sourire malgré la douleur, ce genre de situation l’exitait toujours autant d’un point de vu physique que mental, qui d’eux deux auraient le dernier mot ?
Son sourire devint pervers et son ricanement ne pouvait que le confirmer.

Hum…. Non mauvaise idée… elle voulait lui balayer les jambes pour le faire tomber mais elle se ravisa, laissons lui croire qu’il est le vainqueur. C’est préférable.

Elle lâcha la main pour dire:

-Vous me payez pour me masser ? Qu’elle étrange coutume. Soit, mais sachez que cela ne baissera en rien mes tarifs. Oui, je suis prés de mes sous, que voulez-vous…
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Le Génasie remarqua quelque chose, comme un soudain changement d’idée. Il était extrêmement doué pour comprendre les intentions et les pensées des autres, ça lui servait souvent pour soutirer des informations, sous le biais de la torture ou non, enfin peut être que c’était son imagination qui lui jouait des tours.
Le Génasie se redressa puis, se dirigea vers le lit et retira ses gants de cuir qu’il posa soigneusement sur une chaise ainsi que sa cape, et un sur-vêtement, dévoilant une magnifique chemise de maille teinté de noir, la féline remarqua que les chaînes étaient, en fait, entourées à leurs bras respectifs, qu’elles étaient enroulées autours du torse puissant de Zérar, avant d’être reliées à la ceinture par des boucles pour finalement entourées chaque jambe. Le Génasi retira tout son surplus métallique, ne portant plus qu’un habit à manche courte toujours noir teinté de rouge. Les chaînes bougèrent encore un peut bien que Zédrar ne les portaient plus.

"Ne vous en faites pas, je ne me fais pas d’illusion, mais, il est toujours plus agréable de se … divertir avec quelqu’un de détendus"

Il fit craquer ses doigts et présenta le lit d’une main comme pour inviter Sekhmet à s’étendre sur le lit.
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Sinueuse, dans sa robe de voile éphémère, Sekhmet s’avança, nullement inquiète et même très sur d’elle, chacun de ses pas marqués de l’ondulation de ses hanches.

Pour une fois, un peu d’amusement avec quelqu’un d’intéressant.
Varloth ne lui en offrait guère, seulement des conversation de type : « oui, mais je n’ai pas besoin d’aide… oui mais la puissance… » Bref des conversations de Drow ambitieux et en plus d’être ennuyeux dans la vie courante, il n’y avait aucunes activité sexuelles entre eux !!
C’est pour cela que les fanatiques meurent jeunes, songeait-elle, ils ne pensent pas à profiter de l’existence.
Et même si Varloth ne se disait nullement fanatique, ses rapports avec les femmes tenaient plus du moine Cistercien croisé James bond que de l’étalon croisée anti-pal.

Sans ôter ses chaussures, elle s’allongea provocante et lascive sur le côté.
Le haut du corps posé sur un coude, elle prenait l’aspect de ses sculptures égyptiennes couché sur les longues banquettes tel une Cléopâtre perdu dans des mondes où les nains se battaient contre des dragons. Sa seconde main, négligemment sur la hanche que la position rendait d’autant plus attractive.
Sekhmet scrutait l’homme comme un prédateur observe une proie.

Etes-vous demi élémentaire de feu, sir ???

Demanda-t-elle.
Si c’était le cas, elle allait vraiment s’amuser, elle une ancienne déesse solaire, elle la face destructrice de RA. Comme on dit, le feu appelle le feu.
Sans attendre la réponse, elle se tourna sur le ventre, balançant doucement des jambes, sa tête dans le creux des mains, imaginant déjà toutes les possibilités que lui offrirait cette nuit, en espérant que ce mâle soit « imaginatif»
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Varloth, dans la chambre, dormait. Où plutôt l'équivalent elfique du sommeil humain. Il se sentait calme, et rassuré d'avoir peut-être trouvé la solution à ses problèmes.

Il n'aurait pas put se tromper plus que celà.

Car il fut soudain reveillé par une force qui l'expédia sur le plancher... À travers le lit. Le souffle coupé, il se sentit comme brisé... Avant de s'apercevoir qu'il était en parfait état. Sa jambe était guérie, et il sentait de nouveau la magie couler dans ses veines.

Qu'est-ce que..?

IDIOT! Une voie éclata dans son crâne, et il dut se le tenir à deux main pour tenter de résister à la douleur.
En un instant, il comprit que c'était Vhaeraun, qui lui parla de Sekhmet :
Je t'avais pourtant donné une laisse ainsi que tout les atouts. Je te pensais moins incapable! Est-ce le même qui a réussi à tuer une grande prêtresse d'Arach-Tinilith?
Le ton doucereux de Vhaeraun n'augurait absolument rien de bon pour Varloth. Essayant de rester calme, de garder ses esprits, il compris qu'il avait gaché sa chance.

Toutefois, Vhaeraun changea d'attitude, de la furie, il passa au courrou, d'un maitre réprimendant sévèrement son élève :

Retrouve Sekhmet. Prépare toi avant. Utilise un sort de localisation sur l'amulette. Je te concède cet outils. Ton sort de localisation devra concerner le porteur de l'amulette, pas celle de Sekhmet.
En contrepartie, tu ne pourra utiliser aucun autre sort qui ne te soit pas inné.
Quand tu l'auras capturé, d'une manière ou d'une autre, je te donnerais de nouvaux ordres. Tu le feras seul, puisque tu semble tellement tenir à ton indépendance. Puis la présence dans son esprit s'estompa.

Interdit, Varloth se releva. Il aurait presque préféré qu'il l'execute scéance tenante, plutôt que de devoir capturer Sekhmet. Car cette fois-ci, ça n'avait rien d'un jeu. Rien du tout. Et il serait seul. Pour la première fois de sa vie, il fut sincèrement effrayé. Chassant son angoisse, il décida de faire un tour chez les marchands de la ville.

Demain, on retrouveras plusieurs cadavres, songea-t-il. À moins qu'il ne parvienne à convaincre les marchands de lui laisser ce dont il avait besoin sans payer...

Il grimaça, il récupéra ses affaires, se réequipant. Il jeta un oeil à l'elfe noir sur l'autre lit qui le regardait, les yeux ronds.

Varloth eut une idée.

Désolé, mais la situation vient dramatiquement de changer en ta défaveur, dit-il. Il lui libéra les jambes afin qu'il puisse marcher, et le força à maarcher devant lui. Le torque lui ayant redonné une apparence humaine, il sauta par la fenêtre avec le prisonnier sur l'épaule, en ralentissant sa chute. Il aurait put passer par la porte, mais avertissant Sekhmet de son départ.

Puis, le prisonnier devant lui, Varloth le conduisit, l'air sombre, devant les autorités de la ville.

avant que les défauts d'un tel plans ne s'imposent à son esprit. Il laissa l'elfe noir dans un coin, bien caché, les jambes à nouveaux nouées, et alla se présenter comme client au Horny Horse. une apparence radicalement différente, inconnue de Sekhmet. Un homme de peau blanche et de grande taille, les cheuveux noirs de jais.
Comprenant son plan, Vhaeraun cacha l'aura de Varloth pour parfaire le déguisement.

Il discuta brièvement avec la patronne, puis s'éclipsa, surveillant le couloir menant à la chambre où était Sekhmet, vraisemblablement.

Il va falloir prier pour que mes dons de pickpocket ne se soient pas trop émoussé, songea-t-il. Il prépara au cas où une fiole de somnifère, dont il enduit un carreaux.

Page 1 suite et fin.


Dans le couloir se profila une forme humaine qui s'approcha, sortant de l'ombre. Cette forme se révéla etre un elfe aux cheveux noir de jais, plutot petit, arborant une tenue constitué d'un pantalon large de cuir noir et une chemise de soie blanche. A sa ceinture, d'ailleurs trop grande, il portait deux sabres longs, tandis que dans son dos etait solidement attaché une epée qui aurait pu faire palir le plus vert des orcs. Il semblait etre un elfe sylvain...

A son poignet il arborait un magnifique bracelet d'argent portant le symbole de Lolth, l'araignée. Il portait cette embleme qui etait la preuve de qson appartenance, bien que ce ne soit pas par le sang, a la race des drows. Il avait été elevé par un pauvre elfe noir qui y avait été obligé...

Or donc, il s'avancait dans le couloir, fredonnant un air langoureux de sa voix melodieuse, qu'un quelconque conaisseur aurait reconnu comme chantée en drow profond, une langue utilisée que par ces maitres de l'ombre qu'etaient ces elfes a la peau aussi noire que leurs desseins.

Il s'arreta, voyant en face de lui un home qui portait une arbalète... armée.

"Pour une fois que j'ai rien fait il faut qu'on me mette en joue..."
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Le Génasie admira, sans gêne, le magnifique corps de la féline. Il en avait des frissons. Bien sur, il avait connu d’autres femmes subliment mais c’était plus des coques vides qu’autre chose, elle n’avait pas cet provocation en elle, ce feu intérieure si attractif pour le maître des chaînes.

"Je suis en effet demi élémentaire de feu et je m’appelle Zérar si cela vous intéresse."

Zérar se mit à califourchon au creux des reins de la belle, il frottât ses mains, un instant, en y soufflant dessus et commença à passer ses mains sur la tenue vaporeuse, elles étaient chaudes et Sekhmet pu sentir une douce chaleurs envahir son dos qui ne lui faisait plus mal.

"Un client amateur de la cravache ?"

Le Génasi connaissait bien chaque outil permettant d’infliger la douleur et la cravache était reconnaissable, manier par un amateur brutal et sans finesse. Zérar repassa à plusieurs reprise ses mains afin d’irradier de chaleur le dos de la féline.

"Vous êtes atrocement tendus, vous devez vous faire du soucie pour quelque chose ou alors vous sortez de quelque chose d’éprouvant. Ho fait vous ne craignez pas la chaleur j’espère."

Il est vrai qu’avoir des relations sexuelles avec un Génasi de feu ne pouvait pas refroidir les ardeurs de la femme chat.