[RdA3] Recours des Anges.

Hrp :

Pour désengorger le rp 1, je crée avec l’accord de Rara, le topic 3

Toutes les actions qui ont lieu après le passage de la taverne peuvent être mit ici.

Ex : Sha, toi qui a échappé à la milice, tu peux poster ici.
Xen, toi qui veut aligner un nouveau perso, tu peux poster ici.

Mais attention, si vous voulez être dans la taverne, poster dans le topic 1!
Sinon, on ne s’en sortira pas ! LOL

CH I
Bla Bla bLa

Citation :

Voyant la... Réticence à côtoyer un "mutant" de la femelle humaine, et ayant toujours son apparence humaine lui même, Erhel'Fein déclara :

-Bonjour Mademoiselle. Je ne suis pas un... Mutant comme vous dites, alors j'espère qu'on pourra travailler ensemble. Votre ami ne m'a pas précisé le type de travail. Mais je crois que ce sont mes connaissances du pays qui l'ont intéressé, crut-il bon d'ajouter. Autant jouer la comédie pour le moment, le prix sera discuté plus tard. Et, bien sûr, après qu'il ait eut son "antidote" si antidote il y a. Pour le moment chuchoter à l'oreille de son "nouvel ami" serait louche. Et faut dire que le paiement proposé m'a intéressé.

Katherine prit une moue pincée en examinant de haut en bas le jeune homme : il avait l’air humain.
«Baronne de Quesnoy, enchantée… et… il vous reste combien de minutes à vivre ? »
Elle connaissait par cœur les pratiques de son faux de cousin.

Fredric dégrafa le gant pour regarder sa montre :
« Environ 13 minutes et 40 secondes. Au fait, je me présente : je suis le Comte Fredric de Bord’eau et… »

La gamine en boîte de conserve venait de flanquer un coup de coude dans les côtes de son partenaire tout en chuchotant :
«Libourg, crétin, Chevalier de Libourg »

Refermant son gant, il réagit :
« Euh… oui… Et Chevalier de Libourg, en plus… parce que… j’ai plusieurs titres de noblesse… » Fit-il un peu gêné

« Bein tient… Et c'est moi qui n'est pas de mémoire... » Ronchonna la Baronne pour elle-même. « Plus que quelques 13 minutes ? Allez vous lui donnez l’antidote ?… Un verre de vin ? »

Le voleur retourna à l’auberge et sillonna les tables, ramassant les pichets pour les sentir, désapprobateur, pour finalement jeter son dévolu sur un pichet de la table de 2 ouvriers.
S’emparant d’un gobelet au comptoir, il le remplit d’un vin extrêmement astringent (râpeux en gorge, bourré de tanin, une vraie piquette) et le tendit à l’infortuné empoisonné.

« Allez ! Cul sec ! Certains poisons ont des antidotes aussi simples qu’inattendus : il suffit de les connaître ! Vous me direz : pourquoi un poison aurait un antidote aussi idiot que du vin ? Parce qu’on pense rarement à boire un vin très tannique quand on sait qu’il nous reste que quelques minutes à vivre. Surtout que… allez trouver du vin tannique dans les cours des Nobles ! »


Hrp : il est sadique l’anubis. Un vin acre déjà dur à boire pour un humain…. offert à un elfe aux papilles si délicates…. Siiiik !

« Hé tout vas bien ? Vous me rappeler de la poudre mouillé, et c'est déprimant ! »

Béthanie fut pendant quelques secondes sur le point de répondre mais à cet instant un groupe d'aventurier (encore ? ^^) ou ce qui y ressemblait vachement (bien qu'ils aient tous plus ou moins une allure étrange) venaient de faire leur apparition dans la taverne, attirant l'attention de tout les clients. Béthanie remua les lèvres pour répondre au gnôme mais aucun son n'en sortit, en fait son attention venait d'être pleinement captée par les nouveaux arrivants et si quelqu'un avait pus à cet instant lire sur ses lèvres il aurait alors sut toutes les questions que se posait la technicienne.

°Quels étrangent vêtements, avec quels outils ont ils pus être tissés ? et leurs pièces d'armures, elles semblent avoir été forgées et ouvragées avec des techniques bien particulières, peut être même par des machines et puis leurs.....°

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Quelques minutes plus tard (super ! une transition ! )
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« Hep, vous cherchez une aventure super importante ? Je crois que l'emplume la viens de proposer de défendre une faille planaire, mis à part battre un seigneur démoniaque ou un dragons vénérable je vois pas trop ce qui pourrait être plus impressionnant »

"Défendre une faille planaire ? Je sais pas si ça sera suffisant enfin.... où il est au juste cet emplumé ?"


C'est alors qu'une apparition fugitive coupa court à toutes ses pensées la laissant quelques minutes dans un état de béhatitude faisant quelques mouvements de la bouches rappelant vaguement ceux d'un poisson...

Fredric dégrafa le gant pour regarder sa montre :
« Environ 13 minutes et 40 secondes. Au fait, je me présente : je suis le Comte Fredric de Bord’eau et… »

Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprit et se précipiter sur le propriétaire de cette merveille !

"OH ! UNE MONTRE ! UNE MONTRE ! !! Elle est si petite ! C'est impossible... mais si ! Vraiment elle est... un chef d'oeuvre ! Est-ce qu'elle marche ? J'ai moi même conçu plusieurs modèles d'horloges mais jamais je n'ai réussi à... enfin tenez ! voyez par vous même !" - Béthanie fouilla dans l'une des poches intérieures de sa vestes et en ressortit une grosse montre ronde, bien que celle ci n'avait que deux centimètres d'épaisseur, le diamètre de l'engin était tel qu'il tenait juste dans la paume d'une main. - "Voyez, qui est-ce qui a fabriqué la votre ? C'est-vous ? Comment avez-vous réussit à miniaturiser tous ses composants ? Je ne vois aucun ressort sur la votre, comment faites-vous pour la remonter ? Dites-moi tout ! Oh ! Euh mieux, que diriez vous de me la laisser, je sais qu'elle doit avoir une valeur inestimable mais je peux y mettre le prix ! Tenez !" - sortant de sa poche une bourse pleine d'or (bourse, qui soit dit au passage était censé couvrir tous ses frais, tournées générales inclues...) - "Je vous la laisse !" - Mais en voyant l'air un peu déboussolé de Frédéric (Imaginez vous plutôt la scène, une espèce d'excitée se jetant sur vous en posant une série de questions si rapides que même quelqu'un parlant courament l'ancien anglais n'aurait pas tout comprit) elle se ravisa, mais ne se découragea pas pour autant.... - "Non ! je sais ! Vous êtes un aventurier n'est-ce pas ? Attendez quelques instants !" -Elle partit rapidement jusqu'au comptoir et en quelques secondes tira son gros sac jusque devant le comte avant d'en fouiller l'intérieur jusqu'à en ressortir un pistolet à silex- "Regardez, vous tirez la mèche, attendez 3 secondes et.....euh... surtout évitez de pointer le bout en métal en direction de quelqu'un...sauf si enfin euh... enfin si vous voulez le... bref vous voyez ce que je veux dire..." -Bien entendu tandis qu'elle disait cela elle ne se rendait pas compte que c'était justement ce qu'elle faisait et tout en pointant son engin juste au niveau du nez de Fédéric certainement afin qu'il puisse mieux juger de la complexité et de l'ingéniosité de cette merveille elle continua ingorant totalement que son aptitude pouvait passer pour une menace et surtout que l'homme à qui elle s'adressait ne devait pas comprendre un mot de tout ce qu'elle pouvait raconter....- "Oh ! je pense que je dois en avoir un autre modèle quelque part, quatre canons et un système de gachètes permettant de tirer quatre coups.... évidemment lorsque la poudre est mouillée c'est une autre histoire mais euh.... vous voulez que je vous le montre ? Ah euh.... non en fait je crois pas l'avoir enmené mais euh... je vous offre celui ci contre votre montre, qu'est-ce que vous en dîtes ?"

Les 2 compères s’apprêtaient à exécuter une de leurs chamailleries habituelles quand une furie se jeta sur Plume Noire, l’agressant presque sexuellement avec des paroles au débit digne d’une crue du Rhône. Dans le tas, seuls quelques mots étaient, difficilement compréhensibles.

« Ahmf… le charme français… » Persifla Katherine. « Une de tes anciennes conquêtes ? J’ignorais que tu connaissait le coin. »

« Ce n’est pas une de mes… » Voulut s’indigner Frédric

C’est alors que Béthanie sortit un pistolet et le braqua sous le nez du Français. Plume Noire fit ce qui était logique, dans son monde, face à une arme à feu : il leva les mains :

« Finalement, c’est peut-être une de mes anciennes conquêtes. »

Katherine eut aussi le réflexe : celui de s’écarter. Au fond, là où il y avait une cervelle éparpillée par une bavure, inutile d’en mettre 2 !
« Je ne suis pas certaine, mais je crois qu’elle en veut à ta montre. »

« Elle veut me la voler ? Mais j’y tiens, à cette montre ! »

« Au fait ? Tu parles mieux l’anglais subitement ? »

Sous la panique, Plume Noire améliorait rapidement ses modes de communication. Il tourna la tête vers Béthanie :

« Oh, vous savez, cette montre n’a pas grande valeur, ici, et nos pièces n’ont pas… n’ont pas de valeur dans la région ! Vous ne faîtes pas une bonne affaire en tentant de nous cambrioler, jolie damoiselle ! Et puis, de si jolies mains ne sont pas faîtes pour tenir des armes aussi rustres… » Oui, devant la menace féminine, Plume Noire usait de sa seule arme : le charme. Il usa de son sourire ultra-brite… son regard de braise étant, pour l’instant, altéré trop fortement par la peur.

*Tout ça ça sent l'arnaque à plein nez* pensa Erhel'Fein en reniflant, désapprobateur, le vin qu'on lui avait amené. Le petit manège entre la baronne et le chevalier de Libourg-Bordeaux ne lui était pas passé inaperçu, de même que leur chuchotis chuchota.

"Mouais... Si vous le dites. À l'avenir choisissez un poison qui me fera boire un bon vin, si possible..."

Se pinçant le nez, Erhel'Fein but le vin, cul sec afin d'éviter autant que possible le contacte entre ses papilles et l'infâme breuvage frelaté de cet arnaqueur de tavernier. Il avait choisi de croire les deux étrangers concernant le poison, même si des doutes lui subsistait. Le vin ferait plus de ravage à son estomac que la dose de poison qu'on lui avait peut-être inoculée... Sans parler de ses papilles.

"Pouah... C'est bien connu, le remède le plus efficace est toujours le pl..."

Erhel'Fein, aux aguets, tira son épée et la pointa vers la nouvelle venue :

"Ah c'est pas vrai, je déteste ces armes créée par les gondites..."

Ceci-dit il la tint en joue avec son arbalète de poing, juste au cas où.

"Faites attention avec votre canon miniature, histoire que vous ne le regrettiez pas..."

Même si la mort de ce Fredric ne l'émouvrait pas vraiment, il ne voulait pas qu'on le devance sur ce point.

Peut être que l'accent affreux de l'anglais "soudainement amélioré" du comte y était il pour quelque chose, toujours est-il que Béthanie ne comprit qu'une partie du discours hésitant de Frédéric :

".......................cette montre....................pièces..............................valeur dans la région ! .................................pas une bonne affaire.....................jolie damoiselle ! ---À ces deux derniers mots la technicienne fut légèrement troublée---......................... des armes aussi rustres… "

Si bien que la jeune femme comprit que cet "aventurier" n'était pas intéressé par une "arme aussi rustre".

"Alors peut être préférez vous des espèces sonnantes et trébuchantes ? --présentant sa bourse-- sinon j'ai aussi d'autres objets de valeur que je pourrais éventuellement troquer, tenez, voyez plutôt...."

Mais elle fut stoppée net par une épée pointée dans son dos.

Erhel'Fein, aux aguets, tira son épée et la pointa vers la nouvelle venue :

"Ah c'est pas vrai, je déteste ces armes créée par les gondites..."

Ceci-dit il la tint en joue avec son arbalète de poing, juste au cas où.

"Faites attention avec votre canon miniature, histoire que vous ne le regrettiez pas..."

Béthanie se retourna -le canon de l'arme aussi- un peu froissée qu'on ose lui dire de faire attention avec ses propres engins.

"Un canon miniature ? Vous voulez surement parler de ce pistolet, ne vous inquiétez pas, bien sur que je fais attention ! C'est quand même moi qui l'ai fabriqué cet engin et il me semble que je suis encore la plus à même de savoir qu'elle sont les précautions à employer avec ! Pour qui me prenez vous ? C'est bien un elfe ça ! toujours à récréminer contre le progrès !"

Cela dit elle avait beau prétendre savoir ce qu'elle faisait, le canon de l'arme, lui, oscillait dangereusement entre les mains de la technicienne qui s'agitaient tandis qu'elle ponctuait ses fins de phrases de sorte qu'il pointait aléatoirement vers une zone située entre le ventre de l'elfe et le bout de son nez....

Katherine s’écarta d’avantage, trop d’armes étaient pointées et sorties en tout sens; et de là à voir débarquer la milice ou qu’un coup parte tout seul… il n’y avait qu’un pas.
La jeune fille se replia derrière la femme armée, et s’assit sur un tonneau de là, elle dit avec cynisme:
« Ne vous plaigniez point. Vous avez de la chance de n’avoir eut que du vin. Je l’ai connu moins clément. La dernière fois, le remède fut : un verre de vin tannique + 3 cuillérées de vinaigre, le tout accompagnée de sot à cloche pied en tournant sur soit même. Il va de soit qu’il est à présent interdit en cette cité. La victime de cette gaudriole, Le Seigneur de cette dite cité, n’ayant pas apprécié d’être humilier de la sorte devant ses hommes d’armes. »

A ces bonnes paroles, elle ajouta des éloquents :
« Mais queue de diable (les expressions évolues) ! Entretuez-vous au lieu de vous toiser ! Un peu de spectacle ! Rhooo ! Si cela dure, je veux me faire rembourser ma place ! »
Tandis que machinalement, comme tout chat mouillé, elle entamait une méticuleuse toilette de sa tête a l’aide de sa patt… avant-bras qu'elle léchait.

Le plus interressant dans cette histoire, notait-elle, c'est que cette horlogophile avait elle même fabriquée sont arme. Sûrrement une bricoleuse ou pire une scientifique. Le genre de créature qui se permettait tout car elle avait la science dans son bon droit! Très dangereux ce genre de bestiaux!

Langue encore sortie, comme savent tant le faire les chats dérangés pendant leur toilette, Kath cessa son mouvement sans pour autant descendre le bras qu'elle avait léché.

La gamine regarda Ryliath, puis la pomme, puis Ryliath avant de dire :
« Z’ai une tête à m’appeler blanshe neigze ?… heu .... Blanche Neige»
Corrigea-t-elle en entrant la langue avant d'adresser à Plume Noire le reproche:

« Quand vous aurez finit de courtiser votre future assassin, sir Fredic, j'ai mon Renard qui nous attends dans les geôles! .»

Lorsque la dame qui accompagnait le baron fit remarquer que bon nombre d'armes étaient tirées et que Béthanie se rendit compte avec surprise que son arme faisait partie du lot elle rengaina son pistolet avec rage dans un : "Humpf !" tout en fusillant l'elfe noir du regard, sa mauvaise fois faisait parler son caractère des mauvais jours....

Elle tourna le dos à l'elfe pour s'adresser à nouveau au comte :

"Et vous ? Vous allez vous décidez oui ou MM..... enfin... euh... je veux dire votre montre vous en demandez combien ? Je peux payer en or comptant, mon père n'est autre que Frédéric CROLBEAUX, il est le propriétaire de plantations ainsi que plusieurs manufactures dans l'ouest à quelques centaines de miles(*1) et je peux vous payer grassement pour cette objet."



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(1*) : je parle bien de l'unité de distance et non du nombre qui d'ailleur prend plusieurs l ^^

En effet, Katherine avait fait sa toilette comme les chats qui traînaient dans la cité mais nullement par ci par là, maintenant que l’homme regardait la femme, il pouvait constater que le nombre de matou des rues augmentaient d’une façon phénoménale voir inquiétante autours d’eux.
Un miaulement intrigué provenant des toits signala la présence d’une dizaine de chats qui humaient l’air. Contre le tonneau et aux pieds de Fredric, quelques chats se frottaient.

« Blanche Neige ? Ho, une histoire pour enfant. Succinctement, c’est l’histoire d’une princesse qui, sous demande de la nouvelle reine, fut reléguée au rôle de boniche par son père, qui à fait passer les plaisirs de la chair avant celui de sa fille. Par la suite, elle se retrouva avec 7 nains dans une forêt, ou elle démontra qu’une femme soumise était le seul avenir d’une princesse en fuite. Je vous dis pas, les nuits devaient être torrides dans la chaumière avec 7 nains. Et enfin, à la fin, elle ouvrit les yeux, pour comprendre que l’argent était le nerf d’un couple, en épousant un prince !
Bien sur dans le tas, il y eut une histoire de pomme… Mais si vous voulez en savoir plus, je crains qu’il faudra que vous nous accompagniez car vous…»

Mais son attention fut reporté sur certaine parole qui, à son gout, n’allaient pas ensemble : je peux vous payer grassement pour cet objet et je n’ai pas l’intention de vendre cette montre.
Aussitôt, elle sauta du tonneau pour se ruer sur Plume-noire.

« Mais si mais si mais si ! Il va la vendre ! Tu vas lui vendre hein ? PN ! On a un problème d’argent dans ce bled ! Et cet argent serait le bienvenu … D’ailleurs pour une fois, que tu dragues une fille nous serait utile !! Elle pourrait, si tu la mets dans ton lit entretenir nos frais.»
Finit-elle en chuchotant au creux de l’oreille du voleur.

Ryliath haussa les épaules. Il n'avais jamais vraiment compris les a priori des gens sur les poisons.
Sureprenant Kath, l'asassin porta la pomme a sa bouche et croqua un grand coup dedans. Ryiath se vantait souvent d'etre assez cinglé pour utiliser du poison comme simple condiment pour ses repas. Il partait surtout du principe qu'une fois dans son estomac, les poisons s'entretuaient tous pour le laisser en bonne santé.

"Dommfhge pour *gloups* vous."

Suvit le récit de Kath a propos d'une histoire de princesse-bonniche dont les mésaventures semblaient ne pas dépasser le stade déja bien bas des paquerettes.

"En meme temps, on s'attend pas a ce que quelqu'un qui s'apelle "Blanche-neige", ca soit très futé... A peu près au niveau d'un Régis ou d'un Simon, s'iouvoulez..."

Ryliath leva la tete lorsqu'il entendit un miaulement étrange venaint d'au dessus de lui. Il jeta u oeil a son trognon... a la bouteille, aux chats. Trognon, bouteille, chats. Tro-bou-chats.
Cinq secondes plus tard, une pomme vola en l'air pour atterir sur le toit. En toute discretion, bien sur.
"Bon, euh, décidez vous de parlotter qu'on puisse parler de mon salaire a moi. "

Pendant ce temps, sur le toit, le miaulements s'etaient quelque peu tus. Soit les chats avaient fui... soit... bah soit ils avaient fui devant l'evidence que manger des ordures, c'est pas très propre. N'importe quel bon historien vous racontera que, deux millions d'années plus tard, a cause de cet acte, une communauté de chats évolua jusqu'a... m'enfin, là n'est pas la question.

J'aime bien vos histoires pour enfant, répondit Erhel'Fein à la jeune femme. Bien sûr pour un drow ce n'était pas encore le mieux, mais tout de même, il la trouvait amusante. Il regarda au passage l'invasion de chat se retirer un peu au jet de pomme, puis revenir. Oui car il en fallait plus pour faire peur à un chat des rues. Mais ce soudain rassemblement de chat était tout de même étonnant, et il le fit d'ailleurs remarquer :

-Quelqu'un à un stock de poisson frais dans le coin ou j'ai des visions de chats? Pourquoi y'en a autant??

S'étonna un Erhel'Fein, qui commençait à se dire qu'il se passait des trucs vraiment bizarre dans le coin, et qui espérait que ça allait durer.

« Pas question que je lui vende cette montre : même chez nous, elle est exceptionnelle, donc je ne lui vendrai pas ! » chuchota-t-il en commun européen.

3 chats se frottaient avec insistance sur les bottes de Plume Noire. L’un d’eux, noir et blanc, se détacha et se posta devant le voleur, assis pour émettre des miaulements aiguës et brefs, insistant à chaque fois que Fredric semblait ne pas faire attention à lui, donc souvent.

Plume Noire se tourna de nouveau vers Béthanie pour dire en Vieil Anglais:

« Désolé, jolie demoiselle, mais cette montre est un héritage : je ne peux en, aucun cas, vous la vendre. Vous me comprenez, j’espère ? Mais je vous promet de vous expliquer tout ce que j’en sais.
C'est le moins que je puisse faire pour un regard aussi troublant »

Oui, quand il s'agit de draguer, Plume Noire savait miraculeusement parler toutes les langues. Tel Casanova, pour séduire, il était très fort dan la maîtrise des langues.

RP commun Zok/Xen

Erhel'Fein sourit, voyant la meneuse de fauve mener des chats. Un don, à n'en pas douter, utile, surtout si elle disait vrai et pouvait mener des fauves plus gros et dangereux. Utile aussi pour se déguiser en saltimbanque.

"Et bien je peux vous accompagner dans une meilleurs auberge dès maintenant. Pour les vêtements je ne vous garanti rien : c'est une ville de soldat ici.
Mais... Pourquoi voulez vous retrouver un renard en pleine ville??"

Demanda un Erhel'Fein confus. Le renard n'étant pas un fauve ni un félin... Et surtout, en pleine ville?? Que faisait-il ici?

« Car il est en geôle et que je dois le sortir de là.
Pour ce qui est des vêtements, si ici nous sommes dans une ville garnison, les soldats doivent bien passer leurs soldes quelque part. »
Fit-elle tranquillement en continuant d’avancer, une meute de chat la suivant et heureuse d’avoir trouvé un pigeon, certes, il n’était pas dodu car gavé d’or, mais, elle s’en contenterai comme guide. Il avait pour lui un certain maintien et surtout de bon réflexe, vu la rapidité à laquelle il avait dégainé son épée.

"Hum, je n'avais pas vu les choses sous cet angle. En effet, il y a des bordels dans cette ville," répondit Erhel'Fein. Suivant l'humaine, il prit compte de ce service de plus dans l'addition, content d'ailleurs qu'elle ne négocie même pas le solde dès maintenant...
"Mais... Comment diable ce renard s'est retrouvé dans des geôles? Les gardes ont tant de temps que ça à perdre?"

« Ils ont mit au arrêt cet Animal car il a attaqué un marin.
Et qui dit Maison Close dit péripatéticienne et futures épouses de soldats aux grands cœurs… Sik ! Brum.. bref… Et l’argent qu’elles gagnent, il faut bien qu’elles le dépensent, donc il y a des boutiques destiné aux dames. »

"...J'avoue que je ne suis pas très familier avec les gens de ce genre de ville côtière. Et je crois que j'ai du mal avec ces... Soldats au grand cœurs.
Ce renard avait la rage pour que les soldats le mettent au trou?"

« La rage ? .. ho que oui !! Il a voulut l’assassiner ce marin! En plus, aux yeux et à la vue de ces fameux soldats au grand cœur ! »

Et bien, il a la rage à un état avancé alors, pour en vouloir à ce point!

Répondit un Erhel'Fein étonné, étonné aussi qu'elle veuille le libérer ce renard, à moins que ce ne soit pour le tuer.

Ryliath haussa les épaules de desespoir. Fallait toujours qu'il tombe sur des cinglés. Boarf, a force, on finit par s'y habituer.

D'un pas nonchalent, il se mit a suivre le groupe qui opérait un repli massif. Présentement, Ryliath n'avait que peu d'interet dans l'activité désirée: trouver une boutique de vetement, alors il tacha de s'occuper a évaluer le nombre d'opportunités d'assassinats qui se présentaient a lui sur le chemin: passe temps tout a fait normal, encore que normal n'ait que peu de signification pour un assassin, pour Ryliath qui pratiquait cela au quoitidien.

Quelques secondes plus tard, il finit par sortir de sa semi torpeur poru revenir a une réalité plus tangible et plus monétaire.
Son cerveau fit un réel effort avant de, soudain, tilter.

"HEMEHOMEHOMEHE! s'passpossiblejeveuxqu'ondiscutedemonsalairetoutdesuitemaintenant
immédiatementavanttoutechoseenpremierlieu!"

Ryliath s'arreta un instant pour reprendre son souffle avant de s'appercevoir de deux choses: personne ne l'avait écouté et il était présentement distancé par le petit groupe.

*Je leur ferais payer une bonne fois pour toute! Je les aurais un jour, je les aurais!*

Et le pauvre assassin balotté par les évennements courut après ceux qui allaient, dans son esprit, bien devoir le payer un jour ou l'autre. Ou pas.
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Quelques mètres plus loin, un passant put voir un large turban sortir de derrière un mur. Et en dessous de ce turban, un gros nez et une petite moustache, accompagnés, comme toujours, d'un regard perfide

"Keuf, j'aurais cette statue tôt ou tard! Ou je ne m'apelle plus Kapello et je ne suis plus le meilleur vendeur de forfaits infernaux de tous les sept..."

"Hein, vous dites, monsieur?"

"Heu, non, ryen, ji sui disoulé missiou, ji mi parlais a moi-maime."

Le regard de birbir se reporta sur le petit groupe. Et Birbir s'evapora dans l'air a l'instant meme ou le passant retourna le dos.

« Rien n’est anormal qu’un Granbreton soit ainsi. Il est courant que le peuple de ce pays soit atteint du symptôme… comment dire… des fous de guerre, des berserkers. Il est étonnant malgré tout qu’un Renard soit sujet à ce genre de crise. »

Oh, vraiment? Erhel'Fein laissa passer un silence. Un renard atteint du symptôme de fous de guerre? Vraiment étonnant! Je n'aurais jamais cru ça possible. Et vous savez soigner ces crises? Je dis ça surtout parce qu'une bande de renard sujet à ça doit être gênant tout de même!

« Vous comprendrez toute l’ampleur du mot gênant si par malheur vous veniez à tomber sur des Taureau, des Sanglier ou pire… des Loups atteints de cette folie. Croyez moi, j’en connais un, il est difficile de rester en vie et surtout entière en sa présence. »

Et bien vous ne devez pas vous ennuyer de part chez vous. Et j'imagine que vous ne pouvez pas les abattre pour enrayer l'épidémie, vu de la manière dont vous en parlez...

« Les abattre? ... C'est pas que certains n'essaye pas, mais moi, je travaille pour eux, donc.... .»
Pourquoi lui racontait-elle tout ça, se demandait-elle en fronçant un sourcil.»

Vous travaillez pour..?? Commença un Erhel'Fein qui se demanda soudain s'il n'y avait pas une certaine incompréhension entre eux, où si les animaux de son pays était vraiment, mais vraiment bizarre.
Donc si je résume vous travaillez pour des taureaux, des loups, des sangliers... Je serais curieux de savoir comment ils vous paient... déclara un Erhel'Fein qui se demanda s'il n'était pas tombé sur une elfe fanatique de la nature déguisée en humaine. Et surtout jusqu'où allait se fanatisme.

« Non, je travaille pour une Chèvre. Le Connétable Drasen'Ray. Il me paie en nature, en privilèges et aussi en or.»
Tout en marchant et parlant, Katherine, soumise à ses habitudes de dames de la haute société, avait attrapé le bras de l’humain pour y glisser sa main.

Boddynoc avait littéralement bloqué en voyant Bethanis partir comme une furie. Il regarda le groupe qu'elle venait de prendre d'assaut, le gnome resta un instant caché en sortant son propre pistolet à triple canon, l'ouvrit et vérifia la munition chargé

*une cible, une balle à désintégration ira parfaitement*

Ses lunettes firent alors une chose étrange, elle s'allongèrent comme pour faire un zoom.

*C'est Gondien et pas Gondite espère de tubercule purulent à la rouille !*

Finalement tout se calma après les propos de la femme chat qui semblait les attirer de manière étrange. Finalement le groupe se mit en route, le gnome desida de les suivres, après tout ils étaient accompagné de la seul femme au monde qui ai put tenir une conversation coérante avec lui, et puis cette montre l'intéressait aussi.
Boddynoc n'avait rien d'un assassin et cela se vit, bien que boulons ne soit pas avec lui, le petit être faisait du bruit, il voulut même se la jouer M.I.D.L.M.Q.T.L.A (Mission Impossible De La Mort Qui Tue Les Autres) Au point de se focaliser sur sa cible, et de percuter l'assassin choqué par une vision d'horreur.

Comme Beaucoup le savent les australopiteques sont les seul à pouvoir parler aux objet inanimé, les australopiteques et les Gondien ...

« Shuuuuuut, faut pas faire de bruit enfin .... »




Modo zokh intervient pour dire que:
Etant donné qu'un meuj n'a pas suivit -pour changer - les actions d'un certain groupe qui allait vers les rues commerçantes et non une maison close!!! et bien ce qui suit, n'est pas valable.
-pourquoi, hier, tu n'as pas posé la question (qu'est-ce que vous comptez faire), Ralckor? Tu étais avec nous sur le chat!-
Par contre, chose qui est bien, il m'a indiqué les boutiques et aussi les commerçants par mp donc, je pourrais diriger le groupe dans la ville.

Le groupe arriva rapidement à une maison close, pas si close que ça vue que des gens entraient et sortaient, appelé la Soldate enjoué. Le bâtiment était d'une taille très respectable et se trouvait collé au second mur d'enceinte de la cité.
La patronne à l'intérieure est une plantureuse brune souriante aux yeux noir portant un corset simple des élégant savamment délacé pour montrer une décolleté agréable.

Un Erhel'Fein surpris se crispa un très court instant lorsque la jeune femme lui pris son bras. Il n'avait vraiment pas l'habitude! Tout juste eut-il déjà aperçu des couples de nobles déambulant ainsi. Il se sentait un peu... Étrange, mais joua le jeu, histoire de ne pas paraître louche. Son imagination lui jouait des tours et lui faisait, toutefois, imaginer une amputation de son bras.

Vous travaillez pour un connétable chèvre! Et bien. Y-a-t-il encore beaucoup d'animaux? Et il vous paie en nature privilège et or... J'aimerais, je crois, visiter votre pays et voir ça de mes yeux! Je suis sûr que ça doit être très intéressant!

« Il y a 20 millions d’Animaux, à peu près. Dedans tous les grades confondu. D’après ce que j’ai compris, ce ne sera pas possible de visiter notre pays, nous venons de vraiment vraiment trop loin. »

20 millions! Et bien. Dommage que ce ne soit pas possible de visiter un tel Zoo, sans vouloir être insultant! Mais dites moi, votre renard n'est pas dangereux au moins?

« Un tel zoo ? Ne dites jamais ça devant eux. Vous n’auriez pas le temps de reculer que votre sang teindrait déjà la Tasme ! »

Oh. Susceptible en plus, ils ont décidément tout pour plaire! Remarquez, ce n'est pas le genre d'endroit où on a l'air de s'ennuyer...

«Oui.... »
Elle ne trouva rien de plus construit à dire, il faut dire qu'il n'y avait pas de question, donc à quoi répondre.

Voyant pour sa part que la conversation était arrivée à son terme, Erhel'Fein prêta alors un peu plus d'attention à son environnement, et vit qu'ils étaient dans les ruelles commerçante de la ville.
"Bon et bien je crois que si vous voulez faire vos achats, c'est le moment de commencer..! En nous méfiant des voleurs à la tire, fit-il en voyant l'un d'eux opérer un peu plus loin.