[RP] Le recours des anges.

Lentement, mais surement, et irrémédiablement, au millieu de tout le brouhaha de l'arène, Birbir se releva. Il ouvrit de grands yeux sur le groupe dans lequel il venait d'atterir.

Sans meme penser a comment retourner en haut, sans meme penser a vendre ses saucisse, ce qui constitue un fait incroyable et rare dans la vie d'un marchand tel que lui, il s'emmerveilla devat l'ecclectisme du groupe:

Il y avait la deux Aasimar, une femme-féline, une sorte de docteur et encore d'autres personnages etranges.
L'apparition l'interessa aussi. Un homme a la peau rouge... Ca n'etait surement pas un djinn, se disait l'oeil expert du petit homme, mais peut etre une sorte "Beamon"*.

La, dans la continuité de ces bizzareries, il vit un péloy lévitant au dessus de la barrière et criant a tue tete qu'il voulait voir du spectacle. Birbir, avec le calme des sages mais néanmoins le courroux des hommes, sortit un paquet de Nougats au poulet de son plateau et le lanca avec une précision diabolique sur l'insultant chien qui leur balancait des insultes. Le paquer rebondit juste devant son nez sur la barrière, et l'homme put s'en tirer avec un simple:

"Firm ta ghil, chien d'infidèle, on crie pas sir li jon onnète. Lisse li faire leur travail, ou vien li faire a leur place!"

Et, en faisant redecendre son regard, pour la simpl et bonne raison que le turban commencait apeser lourd, il tomba sur un un personnage etrange: un elfe a la peau noire. Pas comme la sienne, a la délicieuse couleur moka-caramel avec un soupçon de chocolat pour la barbiche, mais plutot du noir-noir. Un noir banal, et pourtant si rare sur la peau d'un homme, et encore plus sur celle d'un representant de la race elfique.
C'etait en tout cas le premier que croisait Birbir. Et en se grattant la tete, il commenca a se demander quels etaient les gouts de cette etrange race. Car birbir etait de la race des innocents capables de braver mille et un danger pour une simple vente. Le genre capable de traverser un continent pour aller vendre des sacs de sable dans un désert.
Ou tout simplement le genre a risquer l'assassinat pur et simple en allant voir un drow de son plein gré. Et d'ensuite se faire tué a l'insu de ce meme plein gré.
Mais birbir avait l'avantage irrémédiable de ne s'etre jamais encore fait tuer, et etait donc persuadé que ca n'avait aucune raison de s'arreter.

Il s'avanca alors, ignorant l'explosion rose, parce qu'il etait tout simplement immunisé aux bizarreries de la sorte (il etait enchanteur. Et un bon enchanteur ne s'etonnait plus de rien et avait déja au moins experimenté l'invocation d'une créature du plan des sucreries.).
Et se planta devant le drow, finalement pas beaucoup plus grand que lui, ce qui representait aussi une chose extraordinaire, avec la ferme intention de lui vendre la saucisse dans un petit pain qu'il lui brandissait avec conviction.

"Missiou, Ti vi po une soucisse dans un p'tit pain?"


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Beamon: Une légende du village de birbir pretend qu'un docteur devenu fou eut l'obsession de teindre sa peau en rouge météorite, et qu'il alla meme jusqu'a vendre son ame au diable pour cela. Il fut trompé et s'en repartit avec une teinte rouge sang.

Kurt vit subitement quelques chose rebondir contre la barriere, quelques chose qui lui était déstiné, quelques chose qui pouvait avec beaucoup de connaissance dans l'art comptemporain, d'indulgence et d'alcool dans le sang être identifié comme de la nourriture. Il nota d'ailleurs que le machinchose était plus engagant maintenant qu'il avait été écrabouillé par l'impact sur la barriere.

Kurt regarda l'importun qui avait osé lui lancer cela, son visage arborant un large sourire, du genre de ceux qui veulent dire : "salut ! tu sait pas quoi ? t'es mort ! " . cependant, en voyant le pauvre here qui lui avait lancé cela, il se sentit envahit d une vague de pitié et de compassion envers les plus defavorisés que lui : en effet le miserable en était réduit a vendre ce qu'il essayait de faire passer pour de la nourriture afin de survivre.

" le monde est cruel. il y en a qui n'ont vraiment pas de chance."
se dit il a voix basse avant de sortir une petite plume et un rouleau de parchemin sur lequel il entreprit d'ecrire dessus :
" alors.... penser à zigouiller le vendeur ambulant. voila, comme ca je risque pas d'oublier"

puis il s'adressa rapidement audit vendeur , aprés avoir rangé son attirail :

" ah mon cher , c'est avec un grand plaisir que je vous aiderais mais voyez vous, je ne suis malheureusement pas assez sadique pour vendre ces choses aux honnetes gens. desolé."

puis il observa le reste de la scene et vit alors Tête-de-Turban se diriger droit vers Varloth et lui proposer une de ses saucisse. il n'en crut pas ses yeux au départ : a un drow. il proposait des saucisses à un drow. mais aprés tout pourquoi pas : les goût et les couleurs sont dans la nature ( les coups et les douleurs aussi d'ailleur ), cependant il se doutait que quelques soit la réaction du drow, cela vaudrait le coup d'oeil

il s'en retournait vers les gradins, perdu dans ses pensées, lorsque sa vue, habituée à detecter les flux magiques, repera une puissante aura dans l'un des gradins. il se dirigea vers elle, poussé par la curiosité, avant de se rendre compte qu'il s'agissait d Hina. un simple coup d 'oeil lui suffit a se rendre compte qu'elle n'allait pas bien du tout : elle etait recroquevillée en larme et serrait une etrange creature rose qui lui rappelait un poney, bien qu'il fut plus petit que ses congénères en taille et qu'il posseda une paire d ailes dans le dos.

Il coupa sa lévitation, s'approcha d'elle et lui parla d'une voix douce qu'il voulut appaisante :

" Hina ? vous m'entendez ? c'est Kurt. Calmez vous, tout va bien, vous ne courrez aucun danger et Mandor est en parfaite santé il nous rejoindra bientot et tout ira mieux je vous le promet"

il esperait seulement qu'avec toutes les bizzareries se trouvant dans l'arene, Mandor ne les rejoindrait pas dans une boîte d'allumettes

Les gradins étaient remplie, le moindre espace occupé par un spectateur impatient, qui se dit qu'aujourd'hui il sera épargné de combats entre hommes dont l'habit était à la limite de la décence, et qui possédaient une odeur d'animal crevé. Car en effet, aucun animal vivant ne se laisserait jusqu'à puer autant, mis à part peut-être un putois diarrhéïque, mais rien n'est moins sûr.
Toutefois, l'esprit observateur pouvait remarquer un étrange espace libre, pouvant acceuillir de cinq à six personnes. Pourtant, personne ne semblait le remarquer, ni même vouloir le combler.
L'esprit plus acéré encore, ou habitué à voir des bizarreries, pouvait, quant à lui, et au prix d'une certaine gymnastique mentale, distinguer cinq drôles d'individus.

L'un d'eux, qui semblait avoir besoin d'une série de repas copieux, déclara :

-C'est chouette que ta femme t'ai laissé venir. Tu vas intervenir?

L'homme marié, à qui s'adressait visiblement la remarque, était une véritable armoire à glace, comme parée à la bataille. Il portait un casque impressionant, ainsi qu'un assortiment d'arme tout aussi impressionantes.

-Ben, pour être honnête, elle a organisé une après-midi avec ses amies, et m'a viré dehors.
-CERTAINES CONCEPTIONS DU MARIAGE M'ECHAPPENT,

avoua une silhouette... Habillé d'un habit... Noir. Non pas comme la nuit, car la nuit n'est qu'une nuance d'un noir. Elle n'est pas vraiment noir. Mais cette robe l'était, comme l'étaient les ombres les plus profondes, au fond de cavernes oubliées. La remarque, en tout cas, laissa planer un silence pensif parmis le groupe. Que rompis à nouveau celui dont la voie ressemblait à un orgue qui jouerait dans les notes les plus grave. Le genre de voix à lettre gothiques :

-PESTILENCE, NE REFOURGUE PAS DE MALADIE. JE TE RAPELLE QU'ICI ON A AUCUNE PREROGATIVE. ON EST LA POUR SE DETENDRE.

Pestilence, ainsi qu'il était nommé, pris un air coupable de celui qui a faillit céder à faire une bêtise. C"était un homme à l'aspect malade. En fait, on aurait dit qu'il portait en lui toutes les maladies du monde. Il n'en n'était pas pour autant répugnant. On pouvait être la Pestilence et avoir sa fierté.

-Même pas une toute petite verrues? demanda-t-il. Le cinqième larron, qui n'avait pas parlé jusque là rétorqua :
-Non! Habituellement, je ne serais pas contre, mais là Morty à raison. Ils sont pointilleux sur ce coin du multivers.

Pestilence soupira, puis les cinq cavalier de l'apocalypse, qui étaient La Mort, La Pestilence, La Guerre, La Famine et Le Chaos s'absorbèrent à nouveau dans l'observation du centre de l'arène.

-LE SPECTACLE TE PLAIT CHAOS?
-Assez! La déesse que le type tout noir à invoqué se débrouille vachement bien! Du bon vieux chaos primaire, ça faisait longtemps! Tiens, tu manges quoi Famine?
-Grains Sauteurs! Il désigna un type enrubanné dans l'arène. C'est le ptit qui me l'a vendu! Un certains Birbir. Il fait aussi dans la saucisse dans des petits pains.
-CERTAINES CHOSES NE CHANGENT PAS, remarqua La Mort.
-Vivement qu'ils commencent, fit la Guerre.



Dans l'arène, ignorant totalement la présence incongrue des cinq personnalités plus ou moins étrangères à ce monde. Etrangères surtout parce qu'elles n'étaient pas sensée posséder de personnification antropomorphique ici, Varloth remarqua :

Tiens, ce n'est pas le magicien que j'ai défié..? On peux dire qu'il a du courage!

*Mais il ne perd rien pour attendre* pensa-t-il. Il était paré au combat, et attendait que les derniers invoqués facent leur apparitions, ce que semblaient aussi attendre ses adversaires. En attendant il s'était fait grillé... Non, cramé une saucisse rapidement achetée au vendeur, en profitant du feu d'artifice du génasi.

Peu mieux faire,

constata-t-il en contemplant le bout de boit calciné où il avait embroché sa saucisse.

Boddynoc regarda avec attention les objets que sortie Betany et son esprit scientifique émit mille hypothèse quand à leurs utilisation, il en comprit une partie par lui même et le reste par l'explication rapide de la jeune femme.
Mais ce qu'elle ignorait c'est que Boddynoc avait un alignement très spéciale : chaotique insouciant, il n'était pas mauvais, ni bon, mais totalement insouciant des risque que l'on pouvait prendre pour la gloire de la science ! Il se promit donc intérieurement de demander à disséquer ce disrupteur de flux, ou au moins apprendre à comment le reproduire et surtout comprendre son fonctionnement. Mais quand la jeune femme parla de voir les plans de l'aéronef, le petit gnome (hum ..) se mit à trépigner sur place, les nombreuses grenades accroché à lui renvoyant une image horrifiante de fiole de nitroglycérine en train de sauter dans tout les sens.

"Ho oui ! Ho oui ! Ho oui ! Ho oui !!"


Quand à Béthanie, qui n'avait en fait pas attendu de réponse pour commencer son exposé, c'est à peine si elle remarqua la dynamite montée sur gnome à ressort tant la simple vue de schémas l'absorbait, c'était bien simple : on eut dit qu'elle faisait son exposé pour elle même, réfléchissant aux différent moyens d'amméliorer son enjin, raturant et réécrivant au fur et à mesure ce qu'elle allait changer !
Pour bien comprendre, il faut préciser qu'en temps normal capter son attention relève de la gageure sauf bien entendu lorsque l'on aborde un sujet se rapportant à son univers, parfois, lorsque elle se retrouve complètement immergée dans une de ses expérinces, il lui arrive de se comporter en véritable autiste alors il faut qu'un évènement VRAIMENT extraordinaire se produise, quelque chose comme......


DDDDRRRRRRRRRRRIIIIIIINNNNNNNNNNNGGGG ! !!


Un bruit de réveil fit sortir l'humaine de son état second ! La surprise fut telle qu'elle faillit en tomber à la renverse ! L'alarme de son spectromètre de flux venait de se déclencher signalant d'importantes variations de flux Aétheriens (aussi appelé flux magique), elle se dépècha de ressortir l'objet en question de sa veste avant de pousser un :

WAAAOOUUU ! !!

Expression particulièrement appropriée car l'aiguille du cadran avait largement dépassé la graduation des +60 et presque +70 ce qui équivalait tout bonnement à une distortion colossale des flux magiques avec à la clé des répercutions sur les frontières extra-planaires ! !! Puis le niveau diminua progressivement avant d'exploser à nouveau pour atteindre un pic de +85 cette fois ! cela était trop pour la jeune femme qui, ne pouvant plus se contenir, s'était mise à danser sur place autour du gnome !

"Il se passe quelque chose dehors ! !! c'est une occasion unique d'assister à un déchainement d'hyper-flux, d'en étudier les intéractions avec les champs électro-statiques, de mieux comprendre le fénomène dit d'Ûberslap sur l'influence de l'Aéther et les relations électromotrices de quantifications et de production d'énergie ! !! Vite enmenez-moi là bas ! avec de la chance on arrivera à temps pour pouvoir analyser ces transfers de champs avant que l'Aéther ne perde son état d'hyper flux ! non ! attendez ! (elle fouilla son sac et en sortit divers instruments de mesure de tailles réduites) Maintenant ! (Encore un moment d'hésitation) Oh ! non attendez ! (À nouveau elle chercha dans son sac et en ressortit divers objets étranges*(1)...) C'est bon ! Allons-y ! (Se figeant) euh...non encore un moment ! (Elle posa au sol tous ce qui lui encombrait les bras pour pouvoir à nouveau fouiller et sortit encore plusieurs trucs s'apparentant cette fois à des outils de réparations ainsi que quelques gourdes contenant des produits chimiques, puis, elle jeta un regard sur son sac devenu soudainement vide.... alors elle rebourra à nouveau tout son bordel dans ce fameux sac avant de le refermer et fit mîme de le mettre sur son dos, malgré le fait qu'il soit visiblement bien trop lourd pour elle, le tout sous les yeux perplexes de Foudre....) Ouf.... C'est bon ! on peut partir....



*(1) : Techniquement on appelle ça des bidules

Des éclairs bleutés surgirent de nulle part pour frapper le sol sans discontinuer durant de longues, interminables secondes, convergeant vers un pont.
Funeste moment d’éléments déchaînés semblant annoncer l’arrivée d’un puissant avatar, ode à une mort se rapprochant à grands pas, toute la colère des cieux se déploya pour manifester son mécontentement de l’arrivée de celui qui était né pour tuer.

Une musique étrange retentit au rythme de ce ballet foudroyant :
https://www.youtube.com/watch?v=uXQTzJgU6qc&mode=related&search=

Un ultime éclair frappa le sol de l’arène, la terre trembla… puis plus rien….

Puis un cri retentit, accompagnant un flash aussi lumineux que brutal :

-IIIAAAAHHH !!!!!!

Dans un bruit tout droit sortit des meilleurs films de guerre, une forme indéfinissable s’écrasa au sol dans un bruit peu ragoûtant d’os brisés.
La forme resta immobile, au sol, avant qu’un bruit, pas plus agréable se fit : les os se refermèrent, les articulations revinrent à leur place dans un son stressant.

L’homme se redressa, assit en tailleur. Il était vêtu d’une étrange robe de mage bariolée, mélange harmonieux, mais douteux d’ocre, de rouge , de jaune et de bleu. Sa main droite chercha et trouva un bâton de marche des plus anodins tandis que, de la gauche, il réajusta maladroitement sa besace et son épée longue qui le gênaient dans sa manœuvre.
L’homme, âgé d’environ trente ans, promena son regard vert de manière circulaire pour découvrir son nouvel environnement, son immense chapeau pointu accompagnant son mouvement de tête :

-Aah ! Tymora ! Encore une nouvelle épreuve ?

Un tremblement de terre se produit de nouveau, le sol sous le nouveau venu se souleva et le renversa.

Dans un hennissement anormal, irréel, un immense cheval noir, décharné, au crâne réduit à l’état de squelette surgit. Ses sabots étaient nimbés de flammes, son carapaçon monstrueux, fait du métal le plus noir, scintillait au soleil. Mais l’inquiétude naturelle que cette créature, d’origine démoniaque, complètement dénaturée, n’est rien en comparaison de son cavalier : une armure noire, hérissée de pointes, haute de plus de 2 mètres, tenant dans sa main un fléau énorme à 3 boules.

https://2img.net/r/ihimizer/img82/3519/mda1sd7.png

Les yeux du cavalier et de son destrier scintillèrent à l’unisson, tout le mal concentré en 2 êtres se dirigea d’instinct vers les hommes au blason au poing enflammé.
Au travers du heaume, une voix sortie d’outre –tombe se fit entendre :

-Invités ?

Kurt se sentit rassuré des paroles de l'être se trouvant à ses côtés car si hina était assoupie, alors avec de la chance elle n'avait pas assisté au déluge d'invocation qui venait juste d'avoir lieu et donc elle ne savait pas dans quelle posture se trouvait Mandor. il leva les yeux vers Diren et lui dit alors :

" il en est peut être mieux ainsi. en tout cas, je tenais à vous remercier d'avoir veillé sur elle, elle m'a l'air si fragile, tout cela doit être un peut trop pour elle et ... "

il n'eut pas le temps de terminer sa phrase car il ressentit soudain la présence d'une aura dérriere lui. Et pas n'importe quelle aura; une aura qu'il connaissait, une aura qu'il redoutait à juste titre. un frisson glacial lui remonta l'échine dorsale, comme si quelqu'un lui avait appliqué un bloc de glace au creux des reins. ses poils se hérisserent, ses pupilles se dilaterent soudain sous l'effet de la peur tandis qu'un brutal flux d'adrenaline faisait battre son coeur a tel point qu'il pouvait resentir chaque pulsation dans ses veines

"non.... c'est impossible, ca ne peut pas être...."

dit il en se retournant lentement, craignant à chaque seconde ce qu'il allait voir.

et il le vit : une silouhette colossale qui faisait se sentir humble même les plus grands des combatant de l'arene, portant une armure noire qui avait l'air capable de resister aux coups d'un dragon et un titanesque fléaux à la main

il pâlit en entendant le mots prononcé par le Moissonneur, comme une sentence funeste, une promesse de mort et de destruction de masse.

n'écoutant que son instinct, il s'envola, se rapprocha du bouclier magique et hurla :

"Mandor, c'est le Moissonneur d'âme, le champion de Bane ! ce n'est plus un simple combat, tout le monde dans cette arène est en danger de mort ! arretez cette folie et faite evacuer tout le monde !"

puis retourant auprés de Diren et Hina, il les empoigna fermement et dit

" nous n'avons plus le temps de faire quoi que ce soit, nous ne sommes plus à l'abri ici, je nous ramene à la taverne".

et sans attendre de réponse de la part de son interlocuteur, il psalmodia une serie de mots arcanique. une fumée couleur de cendre s'eleva de sous les pieds de Kurt, s'enroula autour d'eux comme deux serpents immateriels, puis se dissipa et retomba, mais Kurt, Hina et Diren n'étaient plus alors dans l'arne mais dans la salle principale de la taverne où tout avait débuté

Un combat se prépare, une bataille sanglante, un carnage énorme. Et a des milliers de kilomètres de la, il ne se passe rien.

Alors que ca devrait. En tout cas, si on regarde bien, et au millieu de toute la foule des invocations, on peut appercevoir un petit personnage se faufilant d'une démarche spéciale. Car meme les crabes trouvaient que Birbir marchait de travers.
Et le petit personnage avanca doucement vers l'une des invocations pour voir que quoi il retournat.
Après un petit spectacle son et lumière digne des plus grandes comédies musicales américaines, mais sans la chanson des gentils, Birbir put admirer un Chevalier, noir, sur sa monture, noire, avec une aura, noire, et la peur, bleue, envahit birbir.

Le diabolique contraste entre ca et le poney rose fit ricaner Birbir. C'etait bien devant lui un etre diabolique. Qui demandait si il etait un invité.

Le marchand réfléchit un instant en regardant d'en bas l'enorme chevalier. Birbir, fit un raisonement des plus simples.

* Whalla il demande si j'suis un invité... A que j'frais mieux d'li dire ki ji souï un invité, sinon va m'casser la ghil...*

Et franchement, il n'avait pas spécialement envie de se faire ecrabouiller par un fléau a trois boules. Oui, car birbir ne trouvait pas d'autre mots pour decrire les trois trucs qui pendaient de la poignée du fleau, attachés par une chaine.

Maintenant qu'il voyait le chevalier de près, il regrettait d'etre venu.

"Invhité, j'suis un ami, ti m'tapes pas hein? Ji suis un honnite marchand qui vend sa marchandise au plus offrant! Je suis pas malhonnête..."

* Enfin pas trop... *

Et, regardant la grande apparition, il se sentit tout petit. Enfin, encore plus petit que d'habitude. Il esperait meme que le chevalier, d'aussi haut, ne l'avait meme pas vu, meme pas entendu.

D'une petite voix, il ne put néanmoins s'empecher de lacher une de ses phrases habituelles.
" Euuuh... Un p'tit Hamburga?"

A peine arrivés dans la taverne, Kurt se tourna vers Diren et lui assura qu'il descendrait dans une minute, le temps de déposér Hina dans sa chambre ( " je l'amene a la chambre numero treize, elle pourra ainsi se reposer tranquillement dans un lit, aprés quoi vous aurez eventuellement tout le loisir de me taper dessus " ), puis pris l'Aasimar dans ses bras et commenca à marcher en direction de la chambre.

en chemin, il fut interpellé par un gnome qui avait laissé bêtement tomber sa chope de biere de surprise en voyant l'arrivée du trio et imaginait naturellement que Kurt allait la lui rembourser mais il fut poliment et diplomatiquement convaincu d'y renoncer, comprendre par la qu'il recut un coup de pied circulaire en pleine figure, ce qui l'envoya valser au fond de la taverne comme une balle de tennis frappée par une des soeurs Williams ( il etait d'ailleur dommage que si peu de personne aient assitées à la prouesse technique qu'est le fait de donner un coup de pied circulaire tout en tenant dans ses bras une jeune fille de vingt ans ). son compagnon tenta tout naturellement de s'interposer mais une incantation plus tard et le malheureux, victime d'une Danse irrésistible d'Otto, se mis a danser au milieu de la salle quelques chose entre la tecktonik et les spasmes d'une personnes en phase terminale de la maladie de Parkinson.

Ayant enfin réussi a atteindre sa chambre, il y entra, déposa délicatement Hina dans le lit, la glissa avec douceur sous les drap, s'assura qu'elle allait bien, linvoqua un chien de garde de Mordenkainen pres du lit, boucha le trou de la serrure avec les moyens du bord (il doutait sincerement de l'integrité morale de certain client) et s'appreta à sortir. il allait fermer la porte lorsque un detail ( et un bon jet d'observation ) attira son attention : il s'agissait de la créature invoquée par Hina dans l'arene et qui avait eté teleportée avec eux. elle se trouvait assise sur le pas de la porte et regardait Kurt avec un air implorant, la tête sur le coté. il la ramassa et la déposa sur l'oreiller à coté de la jeun fille endormie.

ayant pris soins de fermer la porte à double tours, il descendit, filla droit jusqu'au contoir, ne s'arretant que pour annuler le sort du deuxieme gnome qui semblait sur le point de faire une attaque, commenda une double dose de cognac au barman qui paraissait las et au bord de la dépression nerveuse grave aprés cette journée. puis il allat voir Diren et lui dit :

" trois choses : un, oui, je sais, j'aurais du vous demander votre avis mais j'ai agis d'instinct. deux, on ne pouvait rien faire de plus pour Mandor et les autres à part prier un panthéon complet pour un miracle. trois : vous buvez quelque chose ? "

Le blond magicien s’épousseta et remit sa tenue en ordre. Il observa la scène qui l’entourait et la jugeait peu à son goût. Ses yeux bleus cherchaient la cause de sa présence ici.

-Par Tymora la Bienveillante, pourquoi suis-je en cet étrange lieu… ? Un public ? Soit !

Il prit de l’ampleur et déclama :

-Mesdames et Messieurs, bienvenus ! J’espère que vous apprécierez ce magnifique spectacle qui… je n’ose l’avouer… pour ne point vous effrayer… nécessit…
Au fur et à mesure de son discours, il prit conscience de la nature du « spectacle ».

-Ouch… !


Le Moissonneur d’Âmes observa ce qui visiblement s’apparentait à de futures victimes, les chaînes de son fléau tintèrent sinistrement. Par contre, la pathétique créature qui semblait déblatérer d’inutiles paroles à son côté ne retint pas son attention outre mesure.
Par contre, il retint celle du palefroi qui engloutit d’un coup le « hamburga » (hrp : libre à toi de décider si la main est engloutie également ou si tu la sauves de justesse des dents tranchantes) avant de renâcler, lâchant par ses naseaux, une fumée noire sentant fortement le souffre au visage du Hobbit, ses lueurs rouges lui servant d’yeux observant le gras plat qui se tenait devant lui : après tout, un Hobbit au dessert, c’est un délice que l’on sert.

Le sombre chevalier demeura silencieux, puis, il secoua la tête et sortit un parchemin qu’il déroula. Il lut d’une voix qui n’avait rien d’humaine :

-Hum hum! « Je suis le Moissonneur d'Âmes, Héraut du Tout-Puissant Baine! Tremblez, Mortels, car le Bras de Baine est parmi vous ! Si vous êtes les obligés d’un ou plusieurs Dieux, faites la paix avec eux car voici venir votre trépas! Tout espoir est futile, tout combat inutile, vos morts, ainsi que vos vies, sont dénuées de toute signification! Amour et félicité à tous ceux de bonne volont… » …???… Lylou!…

Agacé, il froissa le papier. Son casque se tourna vers Sekhmet:

-Toi?! Cela ne m'étonne même pas! Pourquoi avoir fait appel de nouveau à moi? Bah, peu importe! Nous en discuterons plus tard!

Il se detourna vers la bande de motivés au trépas, son arme fouetta l'air.

-Que ceux qui veulent mourir lèvent la main !


Une double aura de terreur se déploya, couvrant l'arène entière (hrp: et 2 JP contre "peur" pour tout le monde! deux! lol! Un pour le chevalier et un pour le cheval!)

Quelque part, dans autre un plan du multivers pas si différent que ça du notre (je veux bien entendu dire par là que les lois qui régissent ce plan et le notre sont à peu près comparable, Loi Newtonienne de gravitation, théories de la relativité et physique quantique.....enfin bref revenons en au récit....), une mouche vînt à se poser sur une bouse de vache, après s'être elle même sustentée elle déposa plusieurs centaines d'oeufs qui, quelques heures plus tards furent emporté en même temps que la bouse, la bouse fut mise à sècher afin de servir de combustible pour un réchaud et la chaleure qui s'en dégagea créa une petite dépression qui se changea en un infime courant d'air imperceptible pour n'importe quelle personne normalement constituée, cependant, par effet boule de neige, ce minuscule courant d'air traversa une mer nommée Méditerrannée, traversa une large zone désertique et, ayant gagné en énergie au cours de ce déplacement, c'était transformé en coup de vent, ce coup de vent prolongea le mouvement d'un Dé à 6 faces roulant sur un petit plateau de bois posé à même le sable faisant du même coup passer le résultat qui aurait dû être de 6 à 2.....

"2 ! - Fahim faillit s'étrangler ! Il venait de perdre son chameau ! une magnifique bête dont il aurait pus tirer au moins 150 000 LE (Livres égyptiennes soit environ 20 000 €)- allez prends là ! de toute fàçon cette vieille saleté de bête ne m'a jamais attiré que des ennuis !"

Il se le leva et partit faire un tour, de rage il donna un violent coup de pied dans un petit caillou noir posé à même le sable...... seulement ce n'était pas vraiment un cailloux et Fahim lacha un juron de douleur avant d'inspecter à nouveau le "cailloux".... le coups de pied avait dégagé un peu de sable et il découvrit que c'était en fait plus qu'un simple cailloux, en fait cela ressemblait à un...... gros cailloux ! Il s'approcha de plus près, un gros cailloux dans le désert c'est pas très courants.... il comença donc par dégager tout autour et se rendit compte que l'objet en question était en réalité bien plus gros qu'un gros cailloux et surtout que celui ci arborait de nombreux signes géométriques.... il héla son compagnon :

"Hep ! Idriss ! Viens donc voir ce que j'ai trouvé !"

Ensemble ils se mirent en quête de dégager le sable de l'objet, très vite sa forme apparue, il s'agissait d'un anneau...

Ils firent part de leur nouvelle aux 1ers venus, la nouvelle remonta jusqu'au gouvernement qui, après avoir reçut certaines sommes de la part du gouvernement U.S très intéressé, fit taire l'affaire, l'anneau fut acheminé jusqu'aux états-unis d'amérique et acheminée dans une base sous-terraine située sous une montagne, un certain Daniel Jakson, un archéologue dont les théories en ce qui concerne les pyramides sont pour le moins.....éxotiques, fut convoqué afin de décripter les signes gravés sur l'anneau, plus tard il s'avéra que cet anneau était en réalité une porte permettant de voyager à travers l'espace d'une planète à une autre, plusieurs équipes d'explorateurs furent créées afin de visiter ces nouvelles planètes dont la fameuse équipe SG1, hors un beau jour la porte s'ouvrit sur une planète en passe d'être aspirée par un trou noir, le trou noir faillit engloutir la terre mais heureusement Sg1 parvint à détourner l'ouverture de la porte vers une autre planète et sauver ainsi la leur, mais pour ce faire, ils firent pèter une bombe nucléaire à l'intérieur du vortex de la porte, hors cela eu des effets inter-planaires innatendus et quelques part dans le multivers, se déclencha un effet quantique très rare appelé trou quantique qui permit à un électron de passer au travers d'une ouverture dans le circuit pour aller se fixer sur la commande d'interrupteur d'un appareil, chose exceptionnelle, cette minuscule variation d'énergie suffit à mettre en route l'ensemble du système de la machine....


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"JE VEUX RENTRER ! JE VEUX RENTRER ! JE VEUX RENTRER ! !!"

Béthanie avait beau taper des pieds et des mains nul dans la pièce ne semblait réagir et encore moins la prendre au sérieux, c'est alors qu'aussi surement que la lumière s'éteint quand on appuis sur un interrupteur, toute magie cessa soudainement de fontionner sur plusieurs kilomètres à la ronde ! Cela se passa simplement comme ça, comme si tout les flux magiques s'étaient simplement coupés, le spectromètre de flux indiquait une valeure approximative de -98, les barrières magiques s'éteinrent, mais cela n'avait plus d'importance car l'arène qui à peine quelques secondes plus tôt avait été le théatre d'un déchainement de puissance sans précdents ne renfermait plus maintenant qu'une troupe de soldats menés par un homme comme les autres avec pour seul particularité d'avoir deux grande ailes à plumes dans le dos ce qui était d'ailleur plus un handicape qu'autre chose puisque privées de magie, ces ailes bien que musclées ne pourraient jamais soulever le poid d'un homme, en face d'eux, se tenaient un goupe de chaotiques mauvais qui n'avaient pour ainsi dire pas franchement meileur allure que leurs advairsaires, la déesse privée de tous ses atours magiques n'était plus que femme comme les autres (malgré son allure naturellement féline), le drow quelques secondes plus tôt guerrier exeptionnel voir légendaire n'était plus que bon combattant, le moissonneur d'âme n'avait quant à lui plus aucune allure, son armure devenue trop pesante l'empêchait de se mouvoir correctement en plus de fatiguer sa démoniaque monture et son fléau n'avait plus rien d'épouvantable, cet objet était simplement devenu inutilisable, comment peut on manier un truc aussi étrange ? Ctulhulu n'avait plus rien de dîvin, à vrai dire sa démarche s'apparentait désormait étrangement à celle du poulpe sortit de l'eau, enfin il y avait un marchand qui ressemblait et bien.... à un marchand !

Citation :

la déesse privée de tous ses atours magiques n'était plus que femme comme les autres (malgré son allure naturellement féline),

Quand on ne connait pas les personnages des joueurs, on évite de décider pour eux à moins d'être le meuj, vilain garnement!

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Pendant ce temps, loin de toute cette agitation, dans une région dite désertique en population humaine, ce qui est très rare en Fêerun, des yeux cristallins se figèrent dans le regard rubis de l’être désigné comme coupable.

Bras croisée sur sa fluette taille, nez joliment retroussé par la colère, Lylouminaï Eylminénïaé Flana’Mornié Ailelh’Staln Gorath Nyeltheravïn Aracnya-Prana Myositis, dit Lylou même par les non-intimes, toisait son semi-compagnon de race : Le sournois et vil Nyarlarresh et ce, même pour ses intimes.

-Nyyaaarlarreeesh Shub’nuggurath… Qu’as-tu fait ?

Nyarla, même s’il était drow et donc étranger à la culture de la surface, savait que, quand une humaine (même à demi) disait le nom en entier de l’individu, ce n’était vraiment pas bon pour l’individu en question.

« -Moi ? Rien. »

Et il savait aussi que la réputation d’un drow, surtout la sienne : celle de toujours mentir, n’allait pas dans son sens, pour une fois. Surtout qu’il disait la vérité, pour une fois, aussi !

Dans ce genre de situation, deux types d’avocats s’affronteraient. Ceux qui prétendent que l’enfant n’est pas coupable des actes des parents et ceux qui ont de la famille chez les manufacturiers de cordes et qui souhaitent voir leurs cousins bénéficier d’une hausse de leur salaire suite à la recrudescence de pendaison quitte à accuser les enfants des coupables.

Cette seconde catégorie s’amuseraient fortement avec le dossier « Nyarla ».

« Oui, Monsieur le juge ! Nyarla est COUPABLE ! Coupable d’avoir toujours haït la victime ! Victime qui l’empêchait de faire main basse sur cette malheureuse et innocente enfant qu’est Lylou ! »

« OBJECTION votre honneur ! La soit disante victime voulait faire de la barde son jouer sexuelle dans son harem…. »

« Rien ne nous le prouve car la victime, Oui ! Je dis victime ! A disparut dans d’étranges circonstances et ne peux se justifier elle-même! Circonstances que nous devons, comme par hasard, à la mère et au père biologique du coupable !! »

« Cela n'est pas probant ! Nyarla jusqu'à preuve du contraire est présumé coupable »

« Qui ne nous dit pas que ce vil drow ait demandé faveur à sa mère pour faire disparaître son rival ! Lui laissant ainsi le champ… »

« Vil Drow ? Votre honneur ! Ceci est une injure raciale ! Une infamie »

« SILENCE DANS LE FORUM ! Cette scéance est ajournée car les lecteurs attendent tout de même la suite de l’histoire…….

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Mais, revenons –grâce à un flouté digne de la maîtrise cinématographique de George Lucas – sur l’arène.

Sekhmet qui venait de récupérer une poêle et un poisson, inutile de souligner que le poisson attirait plus son attention que la poêle, n’eut même pas le temps de savourer son acquisition qu’une décharge d’anti-magie se manifesta.

Ce qui s’en suivit serait digne d’une explication de Samantha Carter mais pour des raisons de pénurie de doliprane et d’aspirine, nous éviterons de vous en faire profiter.
Le résultat n’en fut purtant pas moins le même. La rafale, balayant l’arène, balaya de même la déesse qui ne laissa comme souvenir qu’une poêle tombant dans un PonK et un poisson bien cuit.

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« Je sais que je suis une femme ! Mais j’aimerai de temps en temps que la galanterie ne s’applique pas A MOI surtout quand on passe une porte menant vers un possible danger !!»

Râla l’humaine en arrivant sur les lieux. Ce qui ne changea pas énormément sont équipe car la rousse était réputée comme une râleuse finie. Tout ceux qui l’avaient croisée sur base le savaient et ceux qui l’avaient accompagnée en mission en étaient définitivement convaincu

« Dites ? Vous m’écoutez quand je parle ? Rantanplan ? Tu m’écoutes, toi, au moins ? »

C’est alors que certains lecteurs, en faisant une drôle de tête, se diront : Qui sèment les portes, récoltes les équipes S-G.
Mais pour le moment, ce fut les autochtones, des Elfes Gris, qui firent une drôle de tête en voyant cette femme sortir de l’onde bleutée qui venait de se manifester dans le grand cercle de fer, héritage de la puissance de leurs ancêtres, enfin, d’après eux… D'autant plus quand la rousse leur tendit une barre chocolatée à moitiée manger en disant:

« Miam miam! Manger! Ca se mange »

De son côté, Varloth n'eut guère l'occasion pour s'inquiéter de la disparition de la femme qu'il aimait. Quasiment instantanément, et comme la plupart des mages elfes dans la même situation, il suffoca presque. Pour une race quasi-magique comme les elfes, être dans un endroit dénué de toute magie, c'était comme être dans un endroit privé d'oxygène. Il tomba à genoux, la vue brouillée. Sa peau le brulait, comme si elle essayait de se désolidariser de son corps pour partir prendre un bain de soleil. Il avait aussi l'impression qu'on aspirait son essence, et espérait que ce n'était qu'une impression, très désagréable, d'ailleurs. Le souffle court, il respirait toutefois toujours, même si il était totalement hors de combat pour le moment. On ne remarquais, dans son cas, l'omniprésence de la magie dans sa vie que lorsqu'elle n'était plus là.


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"Bien sûr que je vous écoute. Et vous savez, moi je passerais bien avant vous, mais le capitaine à dit que j'avais un mauvais contacte avec les indigènes."

Etant beaucoup plus bavard qu'un jaffa normal (peut-être parce qu'il avait trouvé des individus avec une vrai conversation, contrairement aux autres jaffas), il détruisait petit à petit le mythe du jaffa taciturne et zélé.

"D'ailleurs j'aimerais bien savoir où sont passé les autres."

Après une nouvelle pause, il remarqua :

Les autochtones sont bizarres. Et ces grandes oreilles sont ridicules. On dirait que leurs mères les leurs a trop tirées étant petits.

-Tiens… ?

Le mystérieux blond aux vêtements loufoques sentit quelque chose d’étrange : la magie semblait avoir disparut. Chose gênante pour un mage, n’est-il pas ? Il paniqua : il avait déjà traversé des zones de magie morte, mais cela semblait différent, il le sentait.
Il effectua avec frénésie une passe classique : un simple sort de prestidigitation qui allumait de petites flammèches autour de ses doigts, amusant pour les enfants, impressionnant pour les adultes qui ne connaissaient rien à la magie, mais rien de bien méchant.

BANG !!!

Une explosion survint, le chapeau vola, dévoilant la chevelure mi longue en pétard, noircie, tout comme le visage du jeune homme dont les uniques signes de blancheur étaient les 2 yeux éberlués.

-Ben… ça marche toujours… mais pas normalement… il y a… une sorte de schisme…

Soufflé par l’explosion, il s’évanouit.


Pendant ce temps, les chaînes noires qui s’entrechoquaient, animées d’une vie propre, retombèrent piteusement, perdant leur superbe. Le Moissonneur d’Âmes regarda son arme qui semblait réduite à l’état de simple fléau, chose qui n’était jamais arrivée auparavant.

Par contre, son armure ne le gênait pas plus, son destrier finissait tranquillement de mastiquer le « hamburga ».

-QUI A FAIT CA ??!!

Des yeux furibonds cherchèrent un responsable ou, à défaut, un bouc émissaire.


Loin de tout ceci, un jeune homme au teint halé et aux cheveux noirs essayait de se donner de la prestance dans une tenue verte et noire qui ne s’y prêtait guère : les treillis américains ne sied que difficilement au style princier.
Sa voix inhumaine s’exprima :

-je crois que le niveau d’architecture de leurs demeure les place au dessus de l’amadouement par la nourriture, Ness Kermadec. Cependant, je les voient plus inquiets par un souci autre que notre présence. (hrp : Et oui, les Elfes Gris sont extrêmement sensibles à la magie, alors, même loin, ils peuvent sentir qu'un trou béant dans la magie s'est mis en place)

Au fait, Terzoum trouve que le treillis met particulièrement en valeur certaines parties de votre anatomie. (précisons que Aker était situé derrière Ness)

« Mais je te dis que JE N’AI RIEN FAIT ! »

Fit-il en prenant une expression qui rappela étrangement son père biologique, alias : Varloth, alias : " Mais je n’ai rien fait, Sekhmet! ".

« Nyarla !? Inutile d’hausser le ton à mon égard !? »

Oui, Lylou avait la particularité de finir ses phrases sur un aigue ce qui donnait des exclamations question assez difficile à retranscrire dans notre syntaxe classique.

« Tu as dit souhaiter te débarrasser du Marmonneur de Brames et PAF !! Il disparaît ?! Tu ne trouves pas la coïncidence particulièrement étrange ?! Nyarla ?? Qu’as-tu fait ? Encore !! »

Insista-t-elle en pointant d’un index vindicatif l’Elfe Noir.

« Mais je n’ai rien FAIT ! »

Mais laissons là ce couple pour revenir sur un autre couple plus…. symbiotique :


Aker/ Terzoum vit le coup de poing fuser vers lui.
Ainsi était la Belette. Juste avant, suite à la réflexion sur l’effet moulant des treillis sur le postérieur des humaines, Ness avait eut le rouge de colère monter aux joues.
C’est pour cela qu’elle s’était retournée brandissant son poing pour aplatir le nez du Tok’ra , bien que des doutes persistes pas pour l’existence du nez sur le Tok’ra, mais pour l’existence d’un Tok’ra dans le Goa’uld.

Le coup de poing loupa son objectif de peu, passant au dessus de la tête du jeune Terzoum.

« Et zut ! J’oublie toujours que vous êtes un nabot !»

Déclara l’hargneuse rousse en soupirant de déception.

"Visez le ventre la prochaine fois. Et donnez lui deux coups. Je le frapperais bien, mais j'ai peur de l'abimer."

Déclara un jaffa avec un petit sourire. Non pas qu'il n'était pas d'accord avec le jeune Terzoum, mais il n'appréciait guère le goa'uld... Ou le tok'ra... Mais sûrement le goa'uld quand même, bref, il n'appréciait pas tellement Aker! Qui lui faisait toujours l'impression de tout calculer.

"J'espère franchement que, quelque soit le problème, on ne va pas en être accusé. Si on doit se battre on va encore me reprocher de faire trop de zèle..."

"parfait, je vais voir ce que notre ami le tavernier a en stock"

Dit Kurt en allant passer commande auprés du gerant, tout en assurant au passage à un couple de gnomes passablement enervé s que la Flétrissure abominable d'Abi-Dalzim figurait parmis les sorts qu'ils maitrisait et qu'il serait enchanté de leur en faire la démonstration si ils ne le laissait pas rapidement en paix.

Il revint ensuite avec une choppe d'Hydromel pour chacun d'entre eux puis s'assit avec gratitude sur la chaise et se mit a siroter son prevage lorsque soudain il releva la tête d'un air surpris et regarda dans la direction de l'arene ( bien que du point de vue des clients qui le virent, il avait plutot l'air de regarder la tête de sanglier accroché au mur ) avant de se retourner vers Diren et lui dire :

" je ne suis pas excessivement sensible a la magie, mais leur débauche de tout a l'heure etait aussi discrete qu'une tribu de troll beurrés au milieu d'une cité drow or j'ai l'impression que ca vient de s'arreter. Y'aurait t'il un probleme ?"

Le Moissonneur d’Âmes observa les ennemis qui semblaient hésiter, comme perturbés par l’absence subite de magie. Il se demanda s’il valait mieux en profiter et terrasser ces êtres affaiblis et perturbés ou s’il valait mieux attendre, pour châtier ces miséreux sans qu’ils puissent accuser leur propre faiblesse :

-Petites créatures insignifiantes faibles et peureuses…

Il décida de s’intéresser à la source sa venue. Hélas, la déesse semblait avoir disparue !

-Où est-elle ?

Il chercha du regard, ne vit dans son entourage proche qu’un Hobbit, qu’il saisit par le cou, le porta au niveau de son casque et le secoua comme un prunier pour demander de sa voix gutturale :

-Où est Sekhmet, la Déesse-Lionne ?


Aker encaissa le coup sans broncher. Il avait eu mal ! Il maudit le corps faible de Terzoum : son ancien corps n’aurait rien senti. Les Goau’lds pouvaient amplifier les capacités physiques mais il faudrait qu’il y ait quelque chose à amplifier. Par contre, on pointait une arme sur lui. Par réflexe, il saisit la main menaçante et la désarma (5000 ans de combat, ça aide.). Il rangea le Spas à sa ceinture et exprima d’une voix neutre :

-Je brise les doigts du prochain qui ose porter la main sur moi. Ces gens m’ont l’air de faible constitution, on ne pourrait même pas en faire des esclaves pour construire des pyramides. Peut-être leur savoir sera-t-il bon à prendre avant de les asservir ou de les détruire…

Boddynoc bloqua quand la magie disparut car boulon ne bougea plus ...

"QUI A OSE FAIRE UNE ZONE D'ANTI MAGIE !!!!"

Loin de se sentir diminuer, il sortit une arme à feus de sa robe de mage, trois canon visiblement rotatif, qu'il chargea avec habitude et se dirigea à la fenètre pour crier dans l'arène de sa voix fluette.


Béthanie qui s'était attendue à voir d'un moment à l'autre l'intérieur de l'arène entrer en état d'hyperflux eu l'air tout aussi surprise que les autres lorsque la magie s'était soudainement volatilisée mais contrairement à ceux qui c'étaient aussitôt précipités aux fenêtres cherchant un ou une responsable, son premier réflexe fut de relever les données de ses instruments de mesures qui heureusement fonctionnaient de fàçon purement mécanique... Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle découvrit que cette brusque interruption était dûe à la soudaine présence d'un corp au potentiel Aéthérien hautement négatif (admirez l'oxymore ^^) !
Elle porta alors instinctivement sa main contre la poche de sa veste où était rangé le disrupteur de flux, la légère vibration qu'elle sentit provenir de cette poche à cet instant déclencha le réflexe dit de "la position de la petite fille innocente qui n'a pas fait la bêtise" ainsi qu'une succession de pensés décousues....
_°Mer** ! j'ai encore fait une connerie !°
_°Arf ! Harkle va me tuer quand il apprendra ça !°

"QUE CELUI QUI A FAIT CA SE DÉNONCE, ET JE VOUS PRÉVIENS JE SUIS CHARGE A LA MAGNOME, ALORS RÉPONDE SI VOUS VOULEZ PAS ÊTRE FENDUS PAR LE MILIEUX !!!"

_°Arf ! Boddynoc me tura si il découvre que c'est moi !°
_°Bon comment on répare cette affaire là ?°

L'appareil cessa de vibrer, il venait de se décharger...

_°Ouf !°
_°Qu'est-ce qui vient de se passer ?!?°
_°Je sais pas le disrupteur de flux c'est mis en route tout seul...°
_°Bon, normalement d'après le principe d'équilibre des flux, le potentiel Aéthérien environnant devrait avoir reprit un taux normal d'ici trois quarts d'heure à une heure et demi....°
_°Merde alors ! Il va falloir attendre une bonne semaine le temps que le disrupteur se recharge et soit de nouveau opérationnel....°
_°TU AS FAIT QUOI ?!!!!!!!°
_°Mais je n'ais rien fais, ça c'est déclenché tout.....°

"Ha...Harkle ?!?"

_°Pas la peine de crier ! Il s'agit d'un simple sort de télépathie, d'ailleur à cause de TON foutu champ d'anti-magie je te reçoit pir que mal ! Et pourtant je me suis mis en haut de la grande tour avec une bonne douzaine de réservoirs Aéthérien autour de moi tout ça rien que pour pouvoir créer un champ suffisemment puissant et avoir ne serait-ce qu'un semblant de réception avec la zone d'anti-magie où tu te trouve ! !!°
_°Mais je te dis que j'y suis pour rien ! l'appareil s'est déclenché tout seul et....°
_°....Et rien du tout ! depuis le début je t'avais dit que tu aurais des enmerdes si tu t'amusais à fabriquer cette saloperie de machine ! Ah ! mais non ! tu ne pouvais pas t'en empêcher ! Et maintenant tu vas faire quoi ? hein ?!?°

Cette fois ci, Béthanie sentit qu'elle avait vraiment mis en rogne celui qu'elle considérait comme un deuxième père ! Ce qu'il y avait de plus effrayant n'était même pas le ton employé mais le langage utilisé par le mage..."enmerdes","saloperie", jusque là, jamais elle ne l'avait entendut parler un langage aussi grossier !
Heureusement pour elle le calvaire cessa lorsque la liaison thélépatique très précaire se rompit définitivement.... La laissant seule au beau milieu de tous les regards qui s'étaient braqués sur elle dès lors qu'elle avait eut la bonne idée de crier "Ha...Harkle ?!?" quelques instants plus tôt !

Kurt sirotait tranquilement son hydromel en regardant dans les yeux son peu loquace interlocuteur, yeux qui lui rappelaient d'ailleur quelqu'un mais il n'arrivait pas a determiner qui ( la dose d'alcool dans le sang n'aidait pas non plus )lorsqu'il entendit une succession de bruit dont l'un l'alarma : les aboiement du chien de garde qu'il avait posté devant la porte.

" par les couilles d'Elminster ! Hina ! "

dit il avant de se précipiter droit vers les escaliers paré à tout.....sauf a ce qu'il lui arriva. en effet, il n'aurait jamais pu imaginer le fait de voir arriver une aasimar hurlante lui tomber dessus. le probleme, c'est qu'elle ne lui tomba pas dans les bras, elle lui tomba dessus en lui atterissant sur la figure, qui se trouva entre ses jambes, la tête sous la robe, où il put admirer la jolie culotte rose en dentelle et les jolie cuisses bien blanche et bien ferme digne d'une aasimar de 20 ans. l'effet que cela lui fit peut se résumer en deux temps : premierement :

"zbfkurg"

deuxiemement......... imaginez un missile se placant sur sa rampe de lancement et vous aurez une petite idée !